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Le soleil et le poète..

#81
Avant d’être révisité j’ai écrit ce poème en deux fois deux heures comme un gitan avec sa guitare sans connaître la poèsie, enfin presque rien
 
#82
Hé bien, c'est riche en vocabulaire, tu m'as appris des mots ce matin, merci!
Quelle bel écrit, on reprend son souffle entre deux, on ressent bien la rencontre d'âme avec ton cher ami Arthur :)
Je ferais sans doute des re lectures de cet écrit, merci beaucoup du partage Mssieu Maurice :)
 
#83
Hé bien, c'est riche en vocabulaire, tu m'as appris des mots ce matin, merci!
Quelle bel écrit, on reprend son souffle entre deux, on ressent bien la rencontre d'âme avec ton cher ami Arthur :)
Je ferais sans doute des re lectures de cet écrit, merci beaucoup du partage Mssieu Maurice :)
Non pas Mssieu Damoiselle Thesmile je suis Momo le clochard céleste un petit rigolo!. Hi trois coups

J’ai moi-même été surpris du résultat!.

Écriture automatique par moment, alexandrins plus ou moins justes, mais tout à l’oreille comme un musicien qui n’a jamais appris le solfège.

Avec au départ 100 lignes comme objectif comme dans le bateau ivre, enfin une histoire de dingue tout simplement!.

Merci Momo
 

Vega46

Maître Poète
#86
Etoile radieuse déesse des nuages,
osmose de la nuit naturelle et sauvage,
phare du néant légéreté des cimes,
île magique perdue dans les abîmes ,
Tu es la déité aux pouvoirs fascinants!.
Diamant de l'espace ta pureté me hante,
d'éternelles visions, d'illusions pénétrantes!.

Sur la voie lactescente ton navire océan
fuit, bercé par le vent de la clarté des temps.
L'univers le dirige dans un silence austère,
lentement vers l'écueil de la vie éphémère!.
Tu connais les secrets de l'âge originel,
ses rayons chatoyants voyageurs immortels,
éveillent en toi lécho d'une nuée stellaire,
aux ombres captivantes au milieu du désert!.

C'est là qu'avec tes sœurs dans un profond mystére,
ton enfance bleutée prit son vol au grand jour,
en une danse folle aux confins de l'amour!.
Au royaume des dieux on quitte ses racines,
né de tes cendres dans ce remous culmine
un chapelet de perles où prie un séducteur!.

Il a gardé du Roi les gènes de l'artiste,
mais aussi la fureur qui attise son cœur!.
l'écriture dévoile son âme fabuliste,
la musique adoucit son instinct destructeur!.
Ses yeux fixent le ciel le soir quand tout se fige,
l’espace géant lui donne le vertige,
des myriades d'îlots s'allument en un instant,
ses pensées s'illuminent il songe à ses parents!.

L'amour qui les unit l'inonde d'espérance,
l'idée de les revoir s'infuse d'une image,
bénie d'éternité, et met fin à l'errance
de l’ esprit captif à cette fleur de l'âge!.
Sa séve s'électrise d'orages holorimes,
la flèche poétique s'élève vers le ciel,
le récit de sa vie sous sa dictée s'imprime,
sur une voûte claire au matelas glaciel !.

Ce recueil de paroles sous les ailes du temps,
fustige sa conscience, anesthésie ses peurs,
un souffle de fraîcheur parfumé de printemps,
accueille sa raison aux sources du bonheur!.
Un serpentin naissant surgit des profondeurs,
purifiant le reflet du génie créateur,
maudit par le destin quand son bateau s'arrime,
sur les vers enlacés des princes de la rime! .

Le monde qu'il sculptait d'œuvres surréalistes,
s'inclinera toujours en hommage à l'artiste,
à la plume de feu volant dans tous les sens,
près des nues électriques où l'éclair sent l'encens!.
Bohémien au grand cœur au Parnasse des muses,
l'auberge où tu dors enjôle les regards,
Petit Poucet rêveur, ce trou de ver t'amuse,
les brumes qui le voilent encrent tes yeux hagards!.

Car des ondes fuyantes caréssées par les vents,
fleurissent l'azur vert d'aurores boréales,
de couleurs envoûtantes sur des tapis volants,
saisissant les démons où flotte la Réale!.
Ô! poussières solaires aux pensées libérées,
Ô! mystiques lueurs sur les vagues océans,
ordonnez la sagesse aux pâleurs égarées,
cupides affameurs condamnés au néant!.

La nuit fond dans un ciel dévoré par les braises
aux geysers jaillissants du ténébreux abysse
là, coule le sang gris qui nourrit la daraise,
d’un étang sacré où régne la justice!.
Adossés sur les bancs des arches religieuses,
certains pensaient soleil que ces abris célestes,
offriraient à leurs corps le salut sans un geste,
ici, sombre l'espoir, des ombres fallacieuses!.

Prêcheurs diaboliques vous crucifiez mon nom!,
créateur éternel à la barbe azurée,
Belenos vous maudit quand au son des canons,
les pleurs, noient les cœurs, de larmes lasurées!.
Des feux renaît la flamme de mes enfants stellaires,
terroristes sataniques sous mes rayons brûlants,
la haine qui vous guide déchaîne ma colère,
protubérances errantes damnez ces loups hurlants!.

La planète meurtrie berceau du père temps,
mère du sacré enfante des mutants!.
Mais, face au mal, à ses horreurs, à ces souffrances,
l'arc-en-ciel d'Iris cible la délivrance!.
Ô! poéte lyrique ce monde tu le peins,
d'une funeste et profonde couleur!,
féal des partitions, ta baguette à la main,
la symphonie dorée, ensoleille les choeurs!.

Visions harmonieuses enchantement des sens,
tes vers charment les yeux et leur mélodie,
joue à ton âme, des rêves qui encensent
mille pensées divines présentes au paradis!.
L'avalanche des mots, près des pics les plus hauts,
aux blancheurs éternelles glorifie tes voltiges!,
les sommets de l'idée, du loup à l'agneau,
subliment l'écriture imagée de prestige!.

Le joug du lyrisme aussi léger soit-il,
ce joug salutaire et doux porté fièrement
et gracieusement sur les têtes dociles,
tu tiens parfois à le secouer fortement!.
Etoile vénérée tu façonnes l'instant,
d'une majestueuse et émouvante beauté,
auréolée d'une lunule bleue îlotée
captive d’une odyssée vers la nuit des temps!.
Celui-là quand je vais avoir le courage de le reprendre je vais en faire quelque chose de bien, car ne vous y trompez-pas je l’ai écrit presque à la vitesse que l’on met pour le lire !.
101 lignes à légèrement restructurer et le rendez-vous poétique sera bien présent.
 

Vega46

Maître Poète
#88
Bonsoir Momo,

Veux - tu que je te dise mon Arthur, mon Momo
C'est céleste de sensibilité et démentiel de beauté
Seules les âmes élevées peuvent écrire pareille Poésie

La Poésie choisit ses Poètes dès la naissance

Je te souhaite une tendre soirée

Bises amicales

Paule
Merci chère Paule, et merci à Daniel qui a mis un j’aime sous ton trop gentil commentaire.
Bon, je demanderai à Arthur dès que je le verrai de me filer un coup de main pour le parfaire !.
Et il n’a pas intérêt de me dire que ce n’est pas possible car c’est de la merde !...Hi trois coups
Quand je l’ai écrit je n’étais pas ivre comme son bateau !. Hi
Et crois-moi cela m’aurait permis d’être encore plus céleste dans mes envolées lyriques !.
Pour bien écrire, il faut savoir créer le cadre !.
Petit un : trouver une chambre mansardée, où en son centre se trouve une table bancale sur laquelle une bougie au vent mauvais agite sa flamme.
Petit deux : un vieux tabouret à trois pieds, un encrier une plume de corneille poussive, quelques feuilles jaunies par le temps une bouteille d’absinthe, un verre fumé une petite cuillère et quelques morceaux de sucre.
Petit trois : une famille de rats qui se balade sur les poutres.
Non mais, il ne faut pas croire que l’on devient un grand poète sans avoir autour de soi cette ambiance optimisée et ces quelques ingrédients indispensables à l’inspiration folle d’un génie créateur !.

Bises célestes
Momo
MLCCACTP
 

Polymnie2

Maître Poète
#93
J'espère que tes nouvelles rimes
n'enlèveront pas le fluo de ton
premier jet!!!

Par contre, est-ce toi qui a présenté
" trois fois mon premier commentaire?
Est-ce à cette époque que tu avais
des difficulté avec mon ordinateur?

Par ailleurs, je me souviens très bien
de cette poésie, mais par contre
je n'ai aucun souvenir de ma venue
en 2018 et du 2019!

Merci MLCCACTP, bises, Poly
 
#94
Bonjour Chère Poly,

Momo ne peut pas te répondre, il a été banni de créapoèmes,
il t'embrasse amicalement du coeur de la forêt

Merveilleuse journée Muse et Poétesse

Je t'embrasse de Poésie

Paule

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Polymnie2

Maître Poète
#95
Bonjour Chère Poly,

Momo ne peut pas te répondre, il a été banni de créapoèmes,
il t'embrasse amicalement du coeur de la forêt

Merveilleuse journée Muse et Poétesse

Je t'embrasse de Poésie

Paule

Merci Paule de servir d'intermédiaire
mais je ne peux répondre en ce qui concerne
Momo, car j'ignore tout de cette nouvelle
que tu m'annonces!

Je suis moi-même non présente comme
autrefois, mais fidèle à moi-même
dans l'espérance que tout revienne dans
l'ordre car dans la tempête de la tourmente qui se promène
chez moi, et qui porte tort au site, je fais
le maximum pour garder le contact et ne rien perdre du suivi!
Je n'ai jamais oublié Jojo, je souhaite tant que tout revienne
en ordre, mais je dois la préserver du mal de ceux qui me tuent
l'âme, la cure chaque nuit, chaque jour!
Ils ont tant et encore aujourd'hui, de m'éloigner d'Elle,
mais ils ne font que resserrer les liens!

Tu vois que rien n'est simple dans la vie,
Il faut rester soi, fidèle au passé!

Merci à toi, bises, Poly
 
#96
Bonjour Chère Poly,

Au bonheur de te lire, s'oppose cette tempête de l'âme dont t'afflige le sort, et dont je reçois les embruns en te lisant.
Muse et Poétesse à la sensibilité à fleur de peau , fidèle à Elle - même et à celles et ceux qu'elle affectionne, je t'envoie de l'Amour et l'espérance que tout revienne dans l'ordre où chaque matin, la nature s'émeut, d'entendre tes battements de coeur.

Douceur sur ta journée Chère Poly
voila pour Toi un cadeau de Momo

image (8).jpg

Je t'embrasse de Poésie

Paule
 
#97
Le soleil et le poète.

Etoile radieuse déesse des nuages,
osmose de la nuit naturelle et sauvage,
phare du néant légéreté des cimes,
île magique perdue dans les abîmes ,
Tu es la déité aux pouvoirs fascinants!.
Diamant de l'espace ta pureté me hante,
d'éternelles visions, d'illusions pénétrantes!.

Sur la voie lactescente ton navire océan
fuit, bercé par le vent de la clarté des temps.
L'univers le dirige dans un silence austère,
lentement vers l'écueil de la vie éphémère!.
Tu connais les secrets de l'âge originel,
ses rayons chatoyants voyageurs immortels,
éveillent en toi lécho d'une nuée stellaire,
aux ombres captivantes au milieu du désert!.

C'est là qu'avec tes sœurs dans un profond mystére,
ton enfance bleutée prit son vol au grand jour,
en une danse folle aux confins de l'amour!.
Au royaume des dieux on quitte ses racines,
né de tes cendres dans ce remous culmine
un chapelet de perles où prie un séducteur!.

Il a gardé du Roi les gènes de l'artiste,
mais aussi la fureur qui attise son cœur!.
l'écriture dévoile son âme fabuliste,
la musique adoucit son instinct destructeur!.
Ses yeux fixent le ciel le soir quand tout se fige,
l’espace géant lui donne le vertige,
des myriades d'îlots s'allument en un instant,
ses pensées s'illuminent il songe à ses parents!.

L'amour qui les unit l'inonde d'espérance,
l'idée de les revoir s'infuse d'une image,
bénie d'éternité, et met fin à l'errance
de l’ esprit captif à cette fleur de l'âge!.
Sa séve s'électrise d'orages holorimes,
la flèche poétique s'élève vers le ciel,
le récit de sa vie sous sa dictée s'imprime,
sur une voûte claire au matelas glaciel !.

Ce recueil de paroles sous les ailes du temps,
fustige sa conscience, anesthésie ses peurs,
un souffle de fraîcheur parfumé de printemps,
accueille sa raison aux sources du bonheur!.
Un serpentin naissant surgit des profondeurs,
purifiant le reflet du génie créateur,
maudit par le destin quand son bateau s'arrime,
sur les vers enlacés des princes de la rime! .

Le monde qu'il sculptait d'œuvres surréalistes,
s'inclinera toujours en hommage à l'artiste,
à la plume de feu volant dans tous les sens,
près des nues électriques où l'éclair sent l'encens!.
Bohémien au grand cœur au Parnasse des muses,
l'auberge où tu dors enjôle les regards,
Petit Poucet rêveur, ce trou de ver t'amuse,
les brumes qui le voilent encrent tes yeux hagards!.

Car des ondes fuyantes caréssées par les vents,
fleurissent l'azur vert d'aurores boréales,
de couleurs envoûtantes sur des tapis volants,
saisissant les démons où flotte la Réale!.
Ô! poussières solaires aux pensées libérées,
Ô! mystiques lueurs sur les vagues océans,
ordonnez la sagesse aux pâleurs égarées,
cupides affameurs condamnés au néant!.

La nuit fond dans un ciel dévoré par les braises
aux geysers jaillissants du ténébreux abysse
là, coule le sang gris qui nourrit la daraise,
d’un étang sacré où régne la justice!.
Adossés sur les bancs des arches religieuses,
certains pensaient soleil que ces abris célestes,
offriraient à leurs corps le salut sans un geste,
ici, sombre l'espoir, des ombres fallacieuses!.

Prêcheurs diaboliques vous crucifiez mon nom!,
créateur éternel à la barbe azurée,
Belenos vous maudit quand au son des canons,
les pleurs, voilent les cœurs, de larmes lasurées!.
Des feux renaît la flamme de mes enfants stellaires,
terroristes sataniques sous mes rayons brûlants,
la haine qui vous guide déchaîne ma colère,
protubérances errantes damnez ces loups hurlants!.

La planète meurtrie berceau du père temps,
mère du sacré enfante des mutants!.
Mais, face au mal, à ces horreurs, à ces souffrances,
l'arc-en-ciel d'Iris cible la délivrance!.
Ô! poéte lyrique ce monde tu le peins,
d'une funeste et profonde couleur!,
féal des partitions, ta baguette à la main,
la symphonie DO RÊ ensoleille les choeurs!.

Visions harmonieuses enchantement des sens,
tes vers charment les yeux et leur mélodie,
joue à ton âme, des rêves qui encensent
mille pensées divines présentes au paradis!.
L'avalanche des mots, près des pics les plus hauts,
aux blancheurs éternelles glorifie tes voltiges!,
les sommets de l'idée, du loup à l'agneau,
subliment l'écriture imagée de prestige!.

Le joug du lyrisme aussi léger soit-il,
ce joug salutaire et doux porté fièrement
et gracieusement sur les têtes dociles,
tu tiens souvent à le secouer fortement!.
Etoile vénérée tu façonnes l'instant,
d'une majestueuse et émouvante beauté,
auréolée d'une lunule bleue îlotée
captive de l’odyssée vers la nuit des temps!.




Version originelle du Poète

Le soleil et le poète.

Etoile radieuse déesse des nuages,
osmose de la nuit naturelle et sauvage,
phare du néant légéreté des cimes,
île magique perdue dans les abîmes ,
Tu es la déité aux pouvoirs fascinants!.
Diamant de l'espace ta pureté me hante,
d'éternelles visions, d'illusions pénétrantes!.

Sur la voie lactescente ton navire océan
fuit, bercé par le vent de la clarté des temps.
L'univers le dirige dans un silence austère,
lentement vers l'écueil de la vie éphémère!.
Tu connais les secrets de l'âge originel,
ses rayons chatoyants voyageurs immortels,
éveillent en toi lécho d'une nuée stellaire,
aux ombres captivantes au milieu du désert!.

C'est là qu'avec tes sœurs dans un profond mystére,
ton enfance bleutée prit son vol au grand jour,
en une danse folle aux confins de l'amour!.
Au royaume des dieux on quitte ses racines,
né de tes cendres dans ce remous culmine
un chapelet de perles où prie un séducteur!.

Il a gardé du Roi les gènes de l'artiste,
mais aussi la fureur qui attise son cœur!.
l'écriture dévoile son âme fabuliste,
la musique adoucit son instinct destructeur!.
Ses yeux fixent le ciel le soir quand tout se fige,
l’espace géant lui donne le vertige,
des myriades d'îlots s'allument en un instant,
ses pensées s'illuminent il songe à ses parents!.

L'amour qui les unit l'inonde d'espérance,
l'idée de les revoir s'infuse d'une image,
bénie d'éternité, et met fin à l'errance
de l’ esprit captif à cette fleur de l'âge!.
Sa séve s'électrise d'orages holorimes,
la flèche poétique s'élève vers le ciel,
le récit de sa vie sous sa dictée s'imprime,
sur une voûte claire au matelas glaciel !.

Ce recueil de paroles sous les ailes du temps,
fustige sa conscience, anesthésie ses peurs,
un souffle de fraîcheur parfumé de printemps,
accueille sa raison aux sources du bonheur!.
Un serpentin naissant surgit des profondeurs,
purifiant le reflet du génie créateur,
maudit par le destin quand son bateau s'arrime,
sur les vers enlacés des princes de la rime! .

Le monde qu'il sculptait d'œuvres surréalistes,
s'inclinera toujours en hommage à l'artiste,
à la plume de feu volant dans tous les sens,
près des nues électriques où l'éclair sent l'encens!.
Bohémien au grand cœur au Parnasse des muses,
l'auberge où tu dors enjôle les regards,
Petit Poucet rêveur, ce trou de ver t'amuse,
les brumes qui le voilent encrent tes yeux hagards!.

Car des ondes fuyantes caréssées par les vents,
fleurissent l'azur vert d'aurores boréales,
de couleurs envoûtantes sur des tapis volants,
saisissant les démons où flotte la Réale!.
Ô! poussières solaires aux pensées libérées,
Ô! mystiques lueurs sur les vagues océans,
ordonnez la sagesse aux pâleurs égarées,
cupides affameurs condamnés au néant!.

La nuit fond dans un ciel dévoré par les braises
aux geysers jaillissants du ténébreux abysse
là, coule le sang gris qui nourrit la daraise,
d’un étang sacré où régne la justice!.
Adossés sur les bancs des arches religieuses,
certains pensaient soleil que ces abris célestes,
offriraient à leurs corps le salut sans un geste,
ici, sombre l'espoir, des ombres fallacieuses!.

Prêcheurs diaboliques vous crucifiez mon nom!,
créateur éternel à la barbe azurée,
Belenos vous maudit quand au son des canons,
les pleurs, voilent les cœurs, de larmes lasurées!.
Des feux renaît la flamme de mes enfants stellaires,
terroristes sataniques sous mes rayons brûlants,
la haine qui vous guide déchaîne ma colère,
protubérances errantes damnez ces loups hurlants!.

La planète meurtrie berceau du père temps,
mère du sacré enfante des mutants!.
Mais, face au mal, à ces horreurs, à ces souffrances,
l'arc-en-ciel d'Iris cible la délivrance!.
Ô! poéte lyrique ce monde tu le peins,
d'une funeste et profonde couleur!,
féal des partitions, ta baguette à la main,
la symphonie DO RÊ ensoleille les choeurs!.

Visions harmonieuses enchantement des sens,
tes vers charment les yeux et leur mélodie,
joue à ton âme, des rêves qui encensent
mille pensées divines présentes au paradis!.
L'avalanche des mots, près des pics les plus hauts,
aux blancheurs éternelles glorifie tes voltiges!,
les sommets de l'idée, du loup à l'agneau,
subliment l'écriture imagée de prestige!.

Le joug du lyrisme aussi léger soit-il,
ce joug salutaire et doux porté fièrement
et gracieusement sur les têtes dociles,
tu tiens souvent à le secouer fortement!.
Etoile vénérée tu façonnes l'instant,
d'une majestueuse et émouvante beauté,
auréolée d'une lunule bleue îlotée
captive de l’odyssée vers la nuit des temps!.​