Je viens d’avoir une vision
Dans un passé très lointain dont personne ne se souviens, ou le monde n’était pas encore le monde que nous connaissant aujourd’hui, ou l’obscurité côtoyais les hommes, et la foi perdis ces derniers fervents, dieu était banni des esprits et des cœurs, la morts rodait, fauchait, la mort était injuste et certaine
Un monde injuste,
« Mon dieu pourquoi tu t’es tue ? Devant mes prières ? devant toute cette souffrance ?» .pensait l’Hermite dans sa barque perdu dans ces pensées, ne croyant plus trouver son salut, ces derniers vivres était ces mots chuchotés par son esprit s’adressant a un dieu qui la longtemps abandonné, orphelin, rejeté, il croyait trouver refuge dans une foi nouvelle, une foi de lumière pour un meilleur monde et un dieu plus juste et voila que la mort était certaine pour lui aussi.
Allongé dans sa barque naufragée, amaigri par la faim n’aspirant qu’à en finir avec sa vie, l’espoir l’offusquait, rien qu’a l’idée de continuer.
« A quoi bon ? Si tout est écrit et qu’il est écrit d’avance pour moi de mourir seul en pleine mer brûlé par le soleil , mangé par les poissons, plus de questionnement , ma fin était belle et bien proche »
« Pourquoi ? »
« Pourquoi m’as-tu abandonné ? Pourquoi tu nous as abandonné ? »
Toute ma colère faisait face au silence du ciel, j’étais las et fatigué, prêt a m’abandonné moi aussi a la volonté de ce dieu sourd, l’envie de lutter me quitta,j’ai oublié qui j’étais d’où je venais mais ces paroles!!! Ces paroles terrifiantes a mes oreilles d’enfant qui revenait sans cesse tout au long de ma vie, cette femme que tout le monde craignaient dans mon village ,on craignait surtout ces paroles , elles était maudites , on me répétait, ne l’approche pas, elle me terrifiait, ce regard qui me fixait a chaque fois que je la croisait , un jour , elle me lança ces mots« Mon enfant le ciel ne t’abandonnera jamais même au prélude de la mort, ais foi l’obscurité te crains déjà. » elle marmottait encore des mots que je ne pouvais entendre sans doute parce que j’était complètement affolé par elle , j’ai couru aussi vite que j’ai pu.
Elle annonçait ma mort cette vieille peau, elle avait vu juste on dirait !
Ma barque commençait a prendre de l’eau, je la sentais s’enfonçait, pas question pour moi de lutter, je me laissais coulé, je voulais mourir, voila, plus de barque, il n’y a que la mer et moi, et de nous deux je sais qui l’emportera car je le veux.
Je coule, j’entends l’eau et j’entends mon cœur battre et je l’attends toujours cette mort qui va venir, je m’enfonce a mon tour dans les abîmes, peut être que la bas je n’aurais plus mal, peut être que las bas il n’y aurait pas de justice ou d’injustice.
Quelque chose m’attire dans les profondeurs noires, comme une douce présence m’agrippant ver le bas, a aucun moment je n’ais eu peur car j’acceptais la mort comme ma délivrance et mon sort comme volonté du ciel, parlez moi de foi !
Je ne peux plus respirer, mon cœur commence a ralentir, mes poumons luttent encore mais ils n’y arrivent plus, je lâche, je me noie, j’agonise.
« Oh mon dieu ne m’abandonnez pas ! »
J’entends la voix de cette femme qui surgit de nulle part mais cette fois plus distinctement, j’arrive enfin a me rappelais de ces mots qu’elle marmottait :« Mon enfant le ciel ne t’abandonnera jamais même au prélude de la mort, ais foi l’obscurité te crains déjà ,Tu sera mort mais restera vivant car l’eau qui t’a noyé te gardera en vie et la vie qu’on t’as prise sera rendue , ce jour la l’espoir naîtra, la lumière reviendra et la ou il y aura de l’injustice la justice enfin naîtra, dort mon enfant ,dort ,un jour tu renaîtra »
Dans un passé très lointain dont personne ne se souviens, ou le monde n’était pas encore le monde que nous connaissant aujourd’hui, ou l’obscurité côtoyais les hommes, et la foi perdis ces derniers fervents, dieu était banni des esprits et des cœurs, la morts rodait, fauchait, la mort était injuste et certaine
Un monde injuste,
« Mon dieu pourquoi tu t’es tue ? Devant mes prières ? devant toute cette souffrance ?» .pensait l’Hermite dans sa barque perdu dans ces pensées, ne croyant plus trouver son salut, ces derniers vivres était ces mots chuchotés par son esprit s’adressant a un dieu qui la longtemps abandonné, orphelin, rejeté, il croyait trouver refuge dans une foi nouvelle, une foi de lumière pour un meilleur monde et un dieu plus juste et voila que la mort était certaine pour lui aussi.
Allongé dans sa barque naufragée, amaigri par la faim n’aspirant qu’à en finir avec sa vie, l’espoir l’offusquait, rien qu’a l’idée de continuer.
« A quoi bon ? Si tout est écrit et qu’il est écrit d’avance pour moi de mourir seul en pleine mer brûlé par le soleil , mangé par les poissons, plus de questionnement , ma fin était belle et bien proche »
« Pourquoi ? »
« Pourquoi m’as-tu abandonné ? Pourquoi tu nous as abandonné ? »
Toute ma colère faisait face au silence du ciel, j’étais las et fatigué, prêt a m’abandonné moi aussi a la volonté de ce dieu sourd, l’envie de lutter me quitta,j’ai oublié qui j’étais d’où je venais mais ces paroles!!! Ces paroles terrifiantes a mes oreilles d’enfant qui revenait sans cesse tout au long de ma vie, cette femme que tout le monde craignaient dans mon village ,on craignait surtout ces paroles , elles était maudites , on me répétait, ne l’approche pas, elle me terrifiait, ce regard qui me fixait a chaque fois que je la croisait , un jour , elle me lança ces mots« Mon enfant le ciel ne t’abandonnera jamais même au prélude de la mort, ais foi l’obscurité te crains déjà. » elle marmottait encore des mots que je ne pouvais entendre sans doute parce que j’était complètement affolé par elle , j’ai couru aussi vite que j’ai pu.
Elle annonçait ma mort cette vieille peau, elle avait vu juste on dirait !
Ma barque commençait a prendre de l’eau, je la sentais s’enfonçait, pas question pour moi de lutter, je me laissais coulé, je voulais mourir, voila, plus de barque, il n’y a que la mer et moi, et de nous deux je sais qui l’emportera car je le veux.
Je coule, j’entends l’eau et j’entends mon cœur battre et je l’attends toujours cette mort qui va venir, je m’enfonce a mon tour dans les abîmes, peut être que la bas je n’aurais plus mal, peut être que las bas il n’y aurait pas de justice ou d’injustice.
Quelque chose m’attire dans les profondeurs noires, comme une douce présence m’agrippant ver le bas, a aucun moment je n’ais eu peur car j’acceptais la mort comme ma délivrance et mon sort comme volonté du ciel, parlez moi de foi !
Je ne peux plus respirer, mon cœur commence a ralentir, mes poumons luttent encore mais ils n’y arrivent plus, je lâche, je me noie, j’agonise.
« Oh mon dieu ne m’abandonnez pas ! »
J’entends la voix de cette femme qui surgit de nulle part mais cette fois plus distinctement, j’arrive enfin a me rappelais de ces mots qu’elle marmottait :« Mon enfant le ciel ne t’abandonnera jamais même au prélude de la mort, ais foi l’obscurité te crains déjà ,Tu sera mort mais restera vivant car l’eau qui t’a noyé te gardera en vie et la vie qu’on t’as prise sera rendue , ce jour la l’espoir naîtra, la lumière reviendra et la ou il y aura de l’injustice la justice enfin naîtra, dort mon enfant ,dort ,un jour tu renaîtra »
Dernière édition: