Le pot d'encre déverser,la nuit s'est installée,
Ne reste que l'oeil du magicien en retrait;
Et une poudrette d'or tout autour en reflet,
Qui viens la nuit tout doucement nous bercer.
C'est ce petit regard en coin,
Ce petit regard malicien;
Clair-obscur, balbutieur et discret,
Qui nous charme et nous effraies.
Magnétisme fou, atmosphère mystique,
Bien-être presque maléfique;
Qui glisse sur la peau tel un vent frileux,
Et en excite les sens d'un désir peureux.
C'est la langue des forces invisibles et supérieures,
Force à laquelle on ne résiste pas;
C'est l'expression universelle intérieure,
Que la plupart du temps nous n'écoutons pas.
C'est le gardien de la nuit,
Gardant sur ses lèvres nos lendemains;
Faisant revivre nos désirs enfouis,
Nous rappelant que le rêve est une réalité autre qui nous échappes au matin.
Finalement, la lune, si clair soit-elle dans la nuit,
A comme tout ce qui vit, un côté sombre qui nous échappes;
Elle est bienfaisante ou d'un grand mépris,
Selon le côté qui nous est présenter, qui nous flatte.
Ne reste que l'oeil du magicien en retrait;
Et une poudrette d'or tout autour en reflet,
Qui viens la nuit tout doucement nous bercer.
C'est ce petit regard en coin,
Ce petit regard malicien;
Clair-obscur, balbutieur et discret,
Qui nous charme et nous effraies.
Magnétisme fou, atmosphère mystique,
Bien-être presque maléfique;
Qui glisse sur la peau tel un vent frileux,
Et en excite les sens d'un désir peureux.
C'est la langue des forces invisibles et supérieures,
Force à laquelle on ne résiste pas;
C'est l'expression universelle intérieure,
Que la plupart du temps nous n'écoutons pas.
C'est le gardien de la nuit,
Gardant sur ses lèvres nos lendemains;
Faisant revivre nos désirs enfouis,
Nous rappelant que le rêve est une réalité autre qui nous échappes au matin.
Finalement, la lune, si clair soit-elle dans la nuit,
A comme tout ce qui vit, un côté sombre qui nous échappes;
Elle est bienfaisante ou d'un grand mépris,
Selon le côté qui nous est présenter, qui nous flatte.