Le musée de ma muse.
Sous le vol majestueux d'une belle buse,
J'entends le murmure d'une p'tite cornemuse,
En amateur, j'apprécie cette douce musique,
Et toujours jouissant, c'est ça le hic, j'en abuse.
Ce sont les vers de mon amie, ma muse,
Et vous le savez, d'avec eux, je m'amuse,
De plagiat, je n'veux pas qu'on m'accuse,
Et d'avance, mille mercis, je m'en excuse.
Quand je lis ses beaux vers, je fuse !
Et j'avoue que rien, je ne me refuse,
Portés par le vent d'autan, j'en use,
Et d'un vilain jeu de mot, tout l'use. (Toulouse)
Mais restons là, bien assis devant cette Suze,
A conter ces p'tites lignes, c'est ma ruse.
Sous le vol majestueux d'une belle buse,
J'entends le murmure d'une p'tite cornemuse,
En amateur, j'apprécie cette douce musique,
Et toujours jouissant, c'est ça le hic, j'en abuse.
Ce sont les vers de mon amie, ma muse,
Et vous le savez, d'avec eux, je m'amuse,
De plagiat, je n'veux pas qu'on m'accuse,
Et d'avance, mille mercis, je m'en excuse.
Quand je lis ses beaux vers, je fuse !
Et j'avoue que rien, je ne me refuse,
Portés par le vent d'autan, j'en use,
Et d'un vilain jeu de mot, tout l'use. (Toulouse)
Mais restons là, bien assis devant cette Suze,
A conter ces p'tites lignes, c'est ma ruse.