Le miroir à deux faces. (Ce n'est pas un poème, mais une réflexion.)
Ce miroir a deux faces, l'une ternie, l'autre pas.
D'un côté du miroir, il y a le Bien qui se regarde en se disant : " Je me vois mal ! "
De l'autre côté, il y a le Mal qui se dit : " Je me vois bien !"
A force de se regarder dans le miroir, le Bien qui se trouve irréprochable l'a terni par tant de prétention et il se voit mal.
Le Mal qui ne peut pas se voir plus mal qu'il ne l'est, n'a pas terni son image et il se voit bien.
Entre le Bien et le Mal, il n'y a pas de différence ! Quoique... Le Bien qui juge le mal devient laid et le Mal qui accepte le Bien devient beau.
Ma conclusion :
Celle ou celui qui voit le mal partout devrait se regarder attentivement, au moins une fois nu dans un miroir.
Mais en fait, il n'y a pas de mal à faire le bien, et ce n'est pas bien de faire le mal, et si le miroir n'avait pas de tain, le Mal et le Bien ne feraient qu'un !
Et enfin, comme disait Jean Cocteau,
"Les miroirs feraient bien de réfléchir avant de renvoyer les images."
Ce miroir a deux faces, l'une ternie, l'autre pas.
D'un côté du miroir, il y a le Bien qui se regarde en se disant : " Je me vois mal ! "
De l'autre côté, il y a le Mal qui se dit : " Je me vois bien !"
A force de se regarder dans le miroir, le Bien qui se trouve irréprochable l'a terni par tant de prétention et il se voit mal.
Le Mal qui ne peut pas se voir plus mal qu'il ne l'est, n'a pas terni son image et il se voit bien.
Entre le Bien et le Mal, il n'y a pas de différence ! Quoique... Le Bien qui juge le mal devient laid et le Mal qui accepte le Bien devient beau.
Ma conclusion :
Celle ou celui qui voit le mal partout devrait se regarder attentivement, au moins une fois nu dans un miroir.
Mais en fait, il n'y a pas de mal à faire le bien, et ce n'est pas bien de faire le mal, et si le miroir n'avait pas de tain, le Mal et le Bien ne feraient qu'un !
Et enfin, comme disait Jean Cocteau,
"Les miroirs feraient bien de réfléchir avant de renvoyer les images."