Stupidité de la vie, fatuité du bonheur
Pensées irréfléchies de rêves suspendus
A des jardins en apesanteur
Un fruit défendu donc le noyau est le centre et le cœur
L’espoir est minime reste la frêle envie après l’orage pilleur
Le signe noir étale ses ailes sur le lac glacé
Le dernier de sa ligné veille encore aux aguets
Sous la glace de l’hiver dort la verdure de l’été
Somnole la laie et le pivert sous l’arbre molesté
Sa plume sa noirceur entache le sang
Splendide et splendeur d’un rêve en blanc
Obscène rêveur qui chasse la nuit
Qui pleure la biche en lui ôtant la vie
Signe dévasteur cœur engourdi
Le soleil est mort la peine reprend vie
Le froid s’émisse entre les fleurs
Coroles et calices bourgeonnent et meurent
Les feuilles dépérissent soudaine torpeur
Oh froid qui Afflige prend peur
Le ciel est noir, triste et mal vaillant
Combien mille maux et mal a-t-il a ton égard
Pauvre sort et mille tourments
Le soleil vit en retrait, toi qui Coule à l’ombre de ses rays
Il fait mine de point exister, tu tien le lac d’une main crispé
L’auguste cherche à t’effleurer, nul mal, n’ai crainte
De toi, il ne pourra se détaché, il cherche à t’atteindre
Ton cœur de glace est bien enrobé, le soleil espère une étreinte
Chaque jour il t’envoie ses messagers, et toi tu ne fait que te plaindre
Sur ta robe blanche s’est nappé, les flaques d’eaux de ses larmes
Les caresses tendres de ses rays, chaque saison, il se réincarne
Bien présent chaque été, la solitude sans toi le gagne
Il t’aperçoit quelque fois dans l’année, maudissant le temps infernal
Pensées irréfléchies de rêves suspendus
A des jardins en apesanteur
Un fruit défendu donc le noyau est le centre et le cœur
L’espoir est minime reste la frêle envie après l’orage pilleur
Le signe noir étale ses ailes sur le lac glacé
Le dernier de sa ligné veille encore aux aguets
Sous la glace de l’hiver dort la verdure de l’été
Somnole la laie et le pivert sous l’arbre molesté
Sa plume sa noirceur entache le sang
Splendide et splendeur d’un rêve en blanc
Obscène rêveur qui chasse la nuit
Qui pleure la biche en lui ôtant la vie
Signe dévasteur cœur engourdi
Le soleil est mort la peine reprend vie
Le froid s’émisse entre les fleurs
Coroles et calices bourgeonnent et meurent
Les feuilles dépérissent soudaine torpeur
Oh froid qui Afflige prend peur
Le ciel est noir, triste et mal vaillant
Combien mille maux et mal a-t-il a ton égard
Pauvre sort et mille tourments
Le soleil vit en retrait, toi qui Coule à l’ombre de ses rays
Il fait mine de point exister, tu tien le lac d’une main crispé
L’auguste cherche à t’effleurer, nul mal, n’ai crainte
De toi, il ne pourra se détaché, il cherche à t’atteindre
Ton cœur de glace est bien enrobé, le soleil espère une étreinte
Chaque jour il t’envoie ses messagers, et toi tu ne fait que te plaindre
Sur ta robe blanche s’est nappé, les flaques d’eaux de ses larmes
Les caresses tendres de ses rays, chaque saison, il se réincarne
Bien présent chaque été, la solitude sans toi le gagne
Il t’aperçoit quelque fois dans l’année, maudissant le temps infernal