Certains jours sont marqués d’un doux parfum d’été qui sublime nos sens, élève nos plumes vers les plus hauts sommets de l’idée où plane l’esprit de dieu.
Nous voulons vivre le présent dans toute sa sérénité, oublier les vilénies de la vie ordinaire et les bassesses du monde.
Nous voguons dans un océan de rêves aux multiples couleurs, nous touchons l’éternel des yeux, nous aimons nous confondre dans l’illusion du temps, nous respirons au rythme de la symphonie des cœurs qui berce mélodieusement nos âmes en lévitation.
Poussières d’étoiles aux confins de l’univers le vide sidéral nous offre un merveilleux pouvoir, celui d’enfin aimer, et d’être aimé.
Nous gravitons autour de l’étoile promise aux rayons attachants, à la chaleur divine, nous sombrons par instant dans ses spasmes envoûtants l’irréel nous séduit, apprivoise nos craintes sait captiver nos sens, l’heure solennelle embrase notre esprit, nous inonde de songes, fait résonner en nous les cloches du bonheur.
Vibrations lancinantes, horloge du présent vous cadancez nos vies à l’ombre des saisons qui voient fleurir nos jours et mourir nos amours.
Frémissons à l’idée qu’encense nos corps sous le ciel scintillant où vivaient nos ancêtres.
L’air que l’on respire sur les plus hautes cimes nous envoûte, aide à la migration de nos consciences, est propice aux exhortations surnaturelles, à peine voilées par un léger souffle de réalité.
Aujourd’hui l’émotion en nous est grande, les secondes, les minutes, les heures se succèdent aussi lentement qu’on les aurait souhaité rapides, elles nous rapprochent pourtant irrésistiblement de notre belle destinée.
Nous essayons d’embellir notre corps nous le souhaitons à la hauteur de notre esprit, nous savons qu’elle ou qu’il nous attend, et nous ne voulons pas surtout pas décevoir.
Ignoble est cependant la vie qui condamne nos entrailles, comptons sur ses chagrins les plus redoutables, parmi lesquels celui d’avoir déjà perdu quelques uns de nos parents, et amis sans avoir pu vieillir encore quelques années ensemble, afin qu’ils puissent partager un peu ces moments solennels, où tinte à la volée l’heure sacrée et tant attendue pour nous, des tendres hyménées.
Nous voulons vivre le présent dans toute sa sérénité, oublier les vilénies de la vie ordinaire et les bassesses du monde.
Nous voguons dans un océan de rêves aux multiples couleurs, nous touchons l’éternel des yeux, nous aimons nous confondre dans l’illusion du temps, nous respirons au rythme de la symphonie des cœurs qui berce mélodieusement nos âmes en lévitation.
Poussières d’étoiles aux confins de l’univers le vide sidéral nous offre un merveilleux pouvoir, celui d’enfin aimer, et d’être aimé.
Nous gravitons autour de l’étoile promise aux rayons attachants, à la chaleur divine, nous sombrons par instant dans ses spasmes envoûtants l’irréel nous séduit, apprivoise nos craintes sait captiver nos sens, l’heure solennelle embrase notre esprit, nous inonde de songes, fait résonner en nous les cloches du bonheur.
Vibrations lancinantes, horloge du présent vous cadancez nos vies à l’ombre des saisons qui voient fleurir nos jours et mourir nos amours.
Frémissons à l’idée qu’encense nos corps sous le ciel scintillant où vivaient nos ancêtres.
L’air que l’on respire sur les plus hautes cimes nous envoûte, aide à la migration de nos consciences, est propice aux exhortations surnaturelles, à peine voilées par un léger souffle de réalité.
Aujourd’hui l’émotion en nous est grande, les secondes, les minutes, les heures se succèdent aussi lentement qu’on les aurait souhaité rapides, elles nous rapprochent pourtant irrésistiblement de notre belle destinée.
Nous essayons d’embellir notre corps nous le souhaitons à la hauteur de notre esprit, nous savons qu’elle ou qu’il nous attend, et nous ne voulons pas surtout pas décevoir.
Ignoble est cependant la vie qui condamne nos entrailles, comptons sur ses chagrins les plus redoutables, parmi lesquels celui d’avoir déjà perdu quelques uns de nos parents, et amis sans avoir pu vieillir encore quelques années ensemble, afin qu’ils puissent partager un peu ces moments solennels, où tinte à la volée l’heure sacrée et tant attendue pour nous, des tendres hyménées.
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