Sur le tapis vert de la belle clairière
Elle s'était endormie bercée par le vent
Ses cheveux mêlés d'or et d'argent
Dansaient dans l'ombre et la lumière
L'air pur et le silence furent ses compagnons
Et les senteurs boisées par le vent sublimées
Embaumèrent les champs laissés à l'abandon
Le gai rossignol tout près vint se poser
Les arbres se plièrent et vinrent saluer
La fille superbe dont je rêve encore
L'herbe familière caressant son doux corps
Le gai rossignol se mit à chanter
Le soir jeta son somptueux voile
Et tel un magicien alluma ses étoiles
La nuit était tombée et le chant s'arrêta
Le gai rossignol enfin s'envola
Elle s'était endormie bercée par le vent
Ses cheveux mêlés d'or et d'argent
Dansaient dans l'ombre et la lumière
L'air pur et le silence furent ses compagnons
Et les senteurs boisées par le vent sublimées
Embaumèrent les champs laissés à l'abandon
Le gai rossignol tout près vint se poser
Les arbres se plièrent et vinrent saluer
La fille superbe dont je rêve encore
L'herbe familière caressant son doux corps
Le gai rossignol se mit à chanter
Le soir jeta son somptueux voile
Et tel un magicien alluma ses étoiles
La nuit était tombée et le chant s'arrêta
Le gai rossignol enfin s'envola