Septembre 2011
LE FACTEUR
J'ai toujours trouvé qu'être facteur était un beau métier
Que de porter le courrier dans des boites prévues à cet effet.
Tous les matins sur son vélo, il part pour sa tournée
La sacoche remplie de précieux papiers nous étant destinés.
Sous le soleil, le vent, la pluie, la neige, il est bien équipé.
Il connait bien le quartier qu'il doit distribuer,
Et à quelques minutes près, il est à l'heure,
Car moi je l'attends avec une certaine candeur.
Que va-t-il me porter : une lettre, une carte, un paquet,
Des catalogues que je pourrai feuilleter...
NON, pas de factures ! Celles-là il peut les ramener....
Quelques fois il sonne, mon coeur est vite emballé.
Car c'est sûrement un recommandé et c'est rarement gai !
Tous les jours j'attends le lendemain, pour aller avec ma clé
Ouvrir cette boite à lettres qui me fait toujours rêver ou angoisser.
OUI, parfois elle m'a faite pleurer, par de mauvaises nouvelles ;
Ou vide qu'elle était, n'ayant rien à décacheter.
Voyez jusqu'où peut aller ma sensibilité.
Pour la fin de l'année, il y a les calendriers,
Je garde toujours un peu de monnaie à lui donner
Pour le remercier de faire un si beau métier.
Maryse.
LE FACTEUR
J'ai toujours trouvé qu'être facteur était un beau métier
Que de porter le courrier dans des boites prévues à cet effet.
Tous les matins sur son vélo, il part pour sa tournée
La sacoche remplie de précieux papiers nous étant destinés.
Sous le soleil, le vent, la pluie, la neige, il est bien équipé.
Il connait bien le quartier qu'il doit distribuer,
Et à quelques minutes près, il est à l'heure,
Car moi je l'attends avec une certaine candeur.
Que va-t-il me porter : une lettre, une carte, un paquet,
Des catalogues que je pourrai feuilleter...
NON, pas de factures ! Celles-là il peut les ramener....
Quelques fois il sonne, mon coeur est vite emballé.
Car c'est sûrement un recommandé et c'est rarement gai !
Tous les jours j'attends le lendemain, pour aller avec ma clé
Ouvrir cette boite à lettres qui me fait toujours rêver ou angoisser.
OUI, parfois elle m'a faite pleurer, par de mauvaises nouvelles ;
Ou vide qu'elle était, n'ayant rien à décacheter.
Voyez jusqu'où peut aller ma sensibilité.
Pour la fin de l'année, il y a les calendriers,
Je garde toujours un peu de monnaie à lui donner
Pour le remercier de faire un si beau métier.
Maryse.