Les doigts sur les lèvres
D'un seul regard,
Il devine, sans un son,
Au seuil du hasard,
ne parle qu'au fil de l'eau,
Il attend, dans ses mains,
L'histoire à quatre sous,
Ne renonce au lointain,
D'un jour, sans fin, dissout.
Il dit non, en souriant,
Se jette sur les murs,
Ses mains alignent les vents
Que les astres murmurent.
A l'école des oublis,
Il sème l'infini trouble,
Qu'il malmène en longs cris,
Les doigts devant la vie.
La musique l'emmène,
Perlée de soupirs, de silences,
Il retient l'air du temps,
S'oubliant dans les dédales d'infortune...
D'un seul regard,
Il devine, sans un son,
Au seuil du hasard,
ne parle qu'au fil de l'eau,
Il attend, dans ses mains,
L'histoire à quatre sous,
Ne renonce au lointain,
D'un jour, sans fin, dissout.
Il dit non, en souriant,
Se jette sur les murs,
Ses mains alignent les vents
Que les astres murmurent.
A l'école des oublis,
Il sème l'infini trouble,
Qu'il malmène en longs cris,
Les doigts devant la vie.
La musique l'emmène,
Perlée de soupirs, de silences,
Il retient l'air du temps,
S'oubliant dans les dédales d'infortune...