A toi mon ange
La mélancolie me ronge,
Sans pitié, inévitablement,
Désert aride, autrefois jardin vivant.
Deuil en ce jour,
Le deuil de ma passion,
Funérailles éclatantes, macabres, sombres.
Ni prière, ni sermon, ni coup de canon.
La vie cruelle,
Froide ;m’a-t-elle abandonné,
A l’heure où elle emplit les foyers,
De son amère arôme, cet amour si frêle ?
Mais la joie m’est désormais tant étrangère,
Que sous mon pas, la nature se meurt,
Les feuilles tombent, dans un cri,
Les arbres plient.
Ma muse s’éloigne, loin, loin, déjà si loin,
Elle marche, entre ses mains, ma flamme, rien,
Laissant dans l’ombre, un cœur lent,
Agonisant…
La mélancolie me ronge,
Sans pitié, inévitablement,
Désert aride, autrefois jardin vivant.
Deuil en ce jour,
Le deuil de ma passion,
Funérailles éclatantes, macabres, sombres.
Ni prière, ni sermon, ni coup de canon.
La vie cruelle,
Froide ;m’a-t-elle abandonné,
A l’heure où elle emplit les foyers,
De son amère arôme, cet amour si frêle ?
Mais la joie m’est désormais tant étrangère,
Que sous mon pas, la nature se meurt,
Les feuilles tombent, dans un cri,
Les arbres plient.
Ma muse s’éloigne, loin, loin, déjà si loin,
Elle marche, entre ses mains, ma flamme, rien,
Laissant dans l’ombre, un cœur lent,
Agonisant…
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