Samedi soir, nostalgique, excitée, perdue, seule, je me rappel
Le coeur a sa mémoire , il me conte l’histoire de nos souvenirs enfouis.
Perdue au milieu de la nuit, perdue dans ma folie de mon envie incessante de toi.
De tes mains, de ta douceur.
De retrouver ce bonheur,
ce plaisir du bégin pour toi,
le souvenir du creux de notre vie.
Tout en serrant les poings, je me rappel.
Je me rappel de ces moments partagés en toute intimité,
qui me font et me feront encore vibrer.
Je me rappel de ce moment précis,
Ce moment qui s’initie partout en moi
Ce moment précis que je revie chaque jour et chaque nuit.
Voilà que tes mains courent sur moi, sur mon corps tout entier.
Sens-tu cette frénésie ?
Ce souffle qui s’accélère ?
Mon envie grandit, la moiteur de mon corps se fait sentir, l’appel de mon corps tout entier se dévoile ;
A la chaleur de notre peau, nous nous enlaçons.
Peur de l’inconnu, ou simple envie de ne faire plus qu’un ?
L’excitation est à son comble.
Le bonheur et le plaisir nous envahissent.
Tu me serres, tu me prend, me voilà prisonnière de tes reins, de tes mains qui me retiennent .
Le va et vient incessant du mouvement de par ton envie de m’emmener dans ce monde lointain...
de me transformer en l’unique...
me fais gémir de plaisir...
C’est au dessus de deux dunes blanches et pudiques que tes lèvres rejoignent les miennes.
Nous voilà loin de tout, entre nous, à l’intérieur de nous, nos coeurs s’enflamment ;
cognant si fort qu’ils seraient prêt à se lier.
A ce paradis lointain qui m’envahit en ce moment même.
Les yeux fermés, les poings serrés, j’évite d’enfoncer mes ongles dans ta peau, je ne pense plus, j’apprécie seulement ce sentiment, cet état indescriptible
qui est l’extase de l’amour...
Parés pour ce combat, face au destin.
Pour que notre histoire demeure en mémoire, ne laissons pas les mots transformer en lambeaux ce que fut notre envie.
Pour toi qui est partis sur les routes de l’exil, pensant à ce parfum furtif et si lointain de cette histoire qui fait parti de notre destin.
Qu’elle reste dans nos mémoires.
Tout en serrant les poings je me rappel
Le coeur a sa mémoire , il me conte l’histoire de nos souvenirs enfouis.
Perdue au milieu de la nuit, perdue dans ma folie de mon envie incessante de toi.
De tes mains, de ta douceur.
De retrouver ce bonheur,
ce plaisir du bégin pour toi,
le souvenir du creux de notre vie.
Tout en serrant les poings, je me rappel.
Je me rappel de ces moments partagés en toute intimité,
qui me font et me feront encore vibrer.
Je me rappel de ce moment précis,
Ce moment qui s’initie partout en moi
Ce moment précis que je revie chaque jour et chaque nuit.
Voilà que tes mains courent sur moi, sur mon corps tout entier.
Sens-tu cette frénésie ?
Ce souffle qui s’accélère ?
Mon envie grandit, la moiteur de mon corps se fait sentir, l’appel de mon corps tout entier se dévoile ;
A la chaleur de notre peau, nous nous enlaçons.
Peur de l’inconnu, ou simple envie de ne faire plus qu’un ?
L’excitation est à son comble.
Le bonheur et le plaisir nous envahissent.
Tu me serres, tu me prend, me voilà prisonnière de tes reins, de tes mains qui me retiennent .
Le va et vient incessant du mouvement de par ton envie de m’emmener dans ce monde lointain...
de me transformer en l’unique...
me fais gémir de plaisir...
C’est au dessus de deux dunes blanches et pudiques que tes lèvres rejoignent les miennes.
Nous voilà loin de tout, entre nous, à l’intérieur de nous, nos coeurs s’enflamment ;
cognant si fort qu’ils seraient prêt à se lier.
A ce paradis lointain qui m’envahit en ce moment même.
Les yeux fermés, les poings serrés, j’évite d’enfoncer mes ongles dans ta peau, je ne pense plus, j’apprécie seulement ce sentiment, cet état indescriptible
qui est l’extase de l’amour...
Parés pour ce combat, face au destin.
Pour que notre histoire demeure en mémoire, ne laissons pas les mots transformer en lambeaux ce que fut notre envie.
Pour toi qui est partis sur les routes de l’exil, pensant à ce parfum furtif et si lointain de cette histoire qui fait parti de notre destin.
Qu’elle reste dans nos mémoires.
Tout en serrant les poings je me rappel