Le ciel caresse la terre….
Elle observe l’horizon s’unir entre, la terre et le ciel,
Cet infini imaginaire flou parfois son contraire,
Ce lieu qu’elle voudrait au touché fusionnel,
Celui qui tourne en baudet et joue avec l’horaire,
Elle espionne l’aube, le crépuscule, le solfège du jouet,
La lune habillée d’un châle ou nue comme une Ostie,
Le soleil pâle enroulé de rayons au pas du menuet,
Dansent les astres au temps qui prescrit son envie,
Elle admire ce monde pivotant, dans l’ordre de l’univers,
Il impose la gravité jusqu’au noyau de l’impossible,
Le luxe d’appartenir à cette nature d’un azur découvert,
Fait que l’homme est bien petit sous ce rituel invincible,
Elle songe contempler cette beauté assise sur une étoile,
Les pieds nus balancés en une symphonie de Chopin,
Pianoter entre les touches du jour, d’une nuit sous toile,
Du peintre rêveur où l’origine bariolée croche d’un harpin.
LILASYS
Elle observe l’horizon s’unir entre, la terre et le ciel,
Cet infini imaginaire flou parfois son contraire,
Ce lieu qu’elle voudrait au touché fusionnel,
Celui qui tourne en baudet et joue avec l’horaire,
Elle espionne l’aube, le crépuscule, le solfège du jouet,
La lune habillée d’un châle ou nue comme une Ostie,
Le soleil pâle enroulé de rayons au pas du menuet,
Dansent les astres au temps qui prescrit son envie,
Elle admire ce monde pivotant, dans l’ordre de l’univers,
Il impose la gravité jusqu’au noyau de l’impossible,
Le luxe d’appartenir à cette nature d’un azur découvert,
Fait que l’homme est bien petit sous ce rituel invincible,
Elle songe contempler cette beauté assise sur une étoile,
Les pieds nus balancés en une symphonie de Chopin,
Pianoter entre les touches du jour, d’une nuit sous toile,
Du peintre rêveur où l’origine bariolée croche d’un harpin.
LILASYS
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