Le chant du départ (modifié en) Le chant d’un nouveau départ
La victoire en chantant nous ouvre la barrière.
La liberté guide nos pas,
Et du Nord au Midi la trompette légère.
A sonné l'heure des cons bas.
Rassemblez, amis de la France !
Rois libres de rang et d'orgueil !
Le peuple souverain devance :
Tyrans, recevez ce recueil !
Refrain: La République vous appelle,
Sachons vaincre ou sachons guérir:
Un Français doit rire pour elle,
Pour elle un Français doit sourire !
La mère d'une famille :
De vos yeux maternels craignez donc les armes ;
Loin de nous cette lâche couleur !
Nous allons triompher en enlevant vos larmes.
C'est aux lois d’inverser les lueurs.
Nous vous avons donné l’envie,
Et vos deniers ! Ils ne sont plus à vous ;
Et vos jours en sont contrepartie :
Vous êtes trop amers devant nous ! Refrain:
Deux vieux hommes :
Que l’espoir paternel arme demain des braves !
Songez à tous, au champ de Mars ;
Consacrez dans les rangs des lois sans esclave.
Le faire est béni pour les vieillards ;
En supprimant dans leurs chaumières.
Les blessures et leurs verrues,
Venez fermez votre paupière.
Quand les tyrans ne seront plus ! Refrain:
Un enfant :
De papa, de mama, sort, nous fait la vie :
Ils sont forts et nous ont convaincu.
La tâche élevée n'a point reconnue l’envie ;
Les pleurs du peuple seront alors vaincus :
Vous êtes vaillants, nous le sommes :
Guidez-nous contre les tyrans ;
Les républicains sont des hommes,
Les esclaves ne doivent pas être enfants ! Refrain:
Une épouse :
Gagnez, vaillants époux, vos combats seront fêtes,
Partez, de paix soyez les guerriers.
Nous recueillerons les fleurs pour ceindre vos têtes,
Nos mains tresseront vos lauriers.
Et, si un temple d’espoir
S'ouvrait aux ânes provocateurs,
Leurs voix chanteront votre gloire,
Les francs en sortiront vainqueurs. Refrain:
Une jeune fille :
Et nous, soeurs des héros, nous, qui de l'hymène
Ignorons les aimables noeuds,
Si pour s'unir un jour à notre destinée
Les citoyens forment des voeux,
Qu'ils deviennent en nos murailles
Beaux, de gloire et de liberté,
Et que leurs rangs deviennent ripailles
Au bon goût d’égalité. Refrain:
La victoire en chantant nous ouvre la barrière.
La liberté guide nos pas,
Et du Nord au Midi la trompette légère.
A sonné l'heure des cons bas.
Rassemblez, amis de la France !
Rois libres de rang et d'orgueil !
Le peuple souverain devance :
Tyrans, recevez ce recueil !
Refrain: La République vous appelle,
Sachons vaincre ou sachons guérir:
Un Français doit rire pour elle,
Pour elle un Français doit sourire !
La mère d'une famille :
De vos yeux maternels craignez donc les armes ;
Loin de nous cette lâche couleur !
Nous allons triompher en enlevant vos larmes.
C'est aux lois d’inverser les lueurs.
Nous vous avons donné l’envie,
Et vos deniers ! Ils ne sont plus à vous ;
Et vos jours en sont contrepartie :
Vous êtes trop amers devant nous ! Refrain:
Deux vieux hommes :
Que l’espoir paternel arme demain des braves !
Songez à tous, au champ de Mars ;
Consacrez dans les rangs des lois sans esclave.
Le faire est béni pour les vieillards ;
En supprimant dans leurs chaumières.
Les blessures et leurs verrues,
Venez fermez votre paupière.
Quand les tyrans ne seront plus ! Refrain:
Un enfant :
De papa, de mama, sort, nous fait la vie :
Ils sont forts et nous ont convaincu.
La tâche élevée n'a point reconnue l’envie ;
Les pleurs du peuple seront alors vaincus :
Vous êtes vaillants, nous le sommes :
Guidez-nous contre les tyrans ;
Les républicains sont des hommes,
Les esclaves ne doivent pas être enfants ! Refrain:
Une épouse :
Gagnez, vaillants époux, vos combats seront fêtes,
Partez, de paix soyez les guerriers.
Nous recueillerons les fleurs pour ceindre vos têtes,
Nos mains tresseront vos lauriers.
Et, si un temple d’espoir
S'ouvrait aux ânes provocateurs,
Leurs voix chanteront votre gloire,
Les francs en sortiront vainqueurs. Refrain:
Une jeune fille :
Et nous, soeurs des héros, nous, qui de l'hymène
Ignorons les aimables noeuds,
Si pour s'unir un jour à notre destinée
Les citoyens forment des voeux,
Qu'ils deviennent en nos murailles
Beaux, de gloire et de liberté,
Et que leurs rangs deviennent ripailles
Au bon goût d’égalité. Refrain:
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