Le calice de ta cyprine
Les hanches de l’aurore
connaissent
les tercets de nos charnelles strophes,
ô ma fleur de douceur,
ô ma Douce,
quand ton corps épuisé
par nos duels d’Éros
se repose
au creux de mes seins si fiers et si lourds.
Cette nuit encore,
j’ai rôdé
autour du pli de notre couche,
mes paumes ont hanté
le joyau de ta nudité,
tes longs cheveux bruns
se sont égrenés dans ton dos,
à la lueur maligne de la lune,
tu as gémis à l’encens de mes caresses,
mes baisers ont tourmenté
tes sens des heures durant,
puis
mes lèvres ont titillé
l’hymne de ton clitoris,
la rose de ta Féminité
et
ont bu
le calice de ta cyprine.
A la brune,
ô ma Vénérée,
tu me diras "encore",
et
nous reprendrons
l’orgie de nos idylles saphiques !
Sophie Rivière
Les hanches de l’aurore
connaissent
les tercets de nos charnelles strophes,
ô ma fleur de douceur,
ô ma Douce,
quand ton corps épuisé
par nos duels d’Éros
se repose
au creux de mes seins si fiers et si lourds.
Cette nuit encore,
j’ai rôdé
autour du pli de notre couche,
mes paumes ont hanté
le joyau de ta nudité,
tes longs cheveux bruns
se sont égrenés dans ton dos,
à la lueur maligne de la lune,
tu as gémis à l’encens de mes caresses,
mes baisers ont tourmenté
tes sens des heures durant,
puis
mes lèvres ont titillé
l’hymne de ton clitoris,
la rose de ta Féminité
et
ont bu
le calice de ta cyprine.
A la brune,
ô ma Vénérée,
tu me diras "encore",
et
nous reprendrons
l’orgie de nos idylles saphiques !
Sophie Rivière