Pour rester claire, lors d’un de mes poèmes,
J'étais grise de carafon, le thym épice ma crème
Moi, bout en train, j’n’étais pas trop bohème,
Moi la porte de prison dégrise même en flemme
L’intrigue s’est portée sur mon p’tit bout,
Ils ont porté un oeil puis les deux sur mes seins doux
Chacun sachant l’interpréter, je vous parle debout,
Assise ou debout le poids valait parait-il le coup
Je resserre les boulons, je mets mes bouts bout à bout,
Il m'ont resserré le soutif , ça dépassait de partout
Mais je n’irai pas forcément jusqu’au bout,
Ils se sont pas gênés de tripoter vin diou
Pour vous divertir, j’en avais mare ! A bout !
Oui, ils étaient tous ensorcelés , Monsieur, je l'avoue
J’aboutai sans me déboulonner comme un marabout,
Perso j'avais beaucoup à dire à tous ces culs de trou
Oui, je suis, j’espère un petit bout en train,
Exactement j'étais steward, ils m'ont coincés les malins
Essayant dans mon petit book de mettre de l’entrain,
Ils ont crié au viol ces cochons , j'ai même pas mis la main
Je bouffais à en devenir bouffi,
Je ne violais aucune âme , Dieu m'a tout dit!
Il me fallait me restreindre, éviter la boulimie.
En mon coeur , je jure qu'ils ont pas vu le travestis
J’allais donc bouder et bouger seul dans le boudoir,
J'allais donc seul, seule remettre une couche au vidoir
Une bougie bien installée dans le bougeoir,
Un espace tranquille où ma beauté ne puisse se voir
D’un boulot drame, je me rendis à la boutique,
Des pétainistes qui m'attendaient pour refaire mon miroir
Au boulodrome, j’étais au bout des tiques.
En attendant Monsieur le juge , ils parlent tous de nique !
Je recherchais un bouc et me rendis au bourg,
Je suis devenue le chèvre emblème de leur cour
C’était pour ma p’tite chèvre du côté de Cherbourg,
Les femmes, signent pour l’abattoir du faubourg
J’ai vu débouler mon petit bout de chou,
Petit mais costo, finir dans la gueule du loup ?
Il bougeait attendant gentiment son petit chou,
Oui il dansait , alors que les autres allaient couper mon cou
Il venait de voir un bout de rat gris
Un ? Une meute assoiffée de gris de gris
Heureusement, il était tout rabougri
Là lunette! ou longue vu c'est permis
Mais tel le croisé, il le boutera,
J'ai perdu le fil de la chèvre au pas
Hors d’ici, ce petit bout de rat,
On chante pitètre le lion et l'angora
Et pour faire une grande boom,
On danse avec les effluves, allumettes et .....
Comme Trenet, mon cœur fait boum,
Trenet c'est qui ma tête est au point mort
Surtout de cette histoire, je ne veux pas être débouté,
Pour cela Monsieur dupond moretti René
Si je vous ai déboussolé, je n’crois pas vous avoir dérouté.
Prends un plan , un gps , tu seras jamais dans le fossé
Et si de mon p’tit bout, je n’vous ai pas parlé,
Nous sommes en direct Luron laisse tomber
D’un p’tit bout de pudeur, j’n’ai pas voulu déballé,
Pas la peine, il a s'en doute beaucoup travaillé
Ne prenez surtout pas peur et restez bien debout,
Voilà l'important c'est la rose en écorchant pas le bout
Car cette fiction est à prendre par les deux bouts.
Fiction! fiction! tu vas pas raconter ça à nous 
LURON/ LILASYS
J'étais grise de carafon, le thym épice ma crème
J’avais pris le car à fond, l’instinct pisse de crème,
Moi la porte de prison dégrise même en flemme
Toi, avorte le prix du son éprise de mon flegme,
Ils ont porté un oeil puis les deux sur mes seins doux
T’as rapporté éveil du dieu et ses saints lourds,
Assise ou debout le poids valait parait-il le coup
Devise d’un bout de foi dévalait évitant beaucoup.
Ils m'ont resserré le soutif, ça dépassait de partout
Je t’ai déversé le pontife, il rêvassait, c’est tout.
Ils ne se sont pas gênés de tripoter vin diou
Je ne suis pas peiné de t’apporter le divin mou,
Oui, ils étaient tous ensorcelés, Monsieur, je l'avoue
Non, j’n’avais pas mis de barbelé, Madame que je loue,
Perso j'avais beaucoup à dire à tous ces culs de trou
Verso de ta version du coup à lire sans recul de fou.
Exactement j'étais steward, ils m'ont coincés les malins
Naturellement avare de larmes, j’ai décoincé mes mains,
Ils ont crié au viol ces cochons, j'ai même pas mis la main
Pour décrier le vol de ton chignon, j’ai joué plus malin,
Je ne violais aucune âme, Dieu m'a tout dit !
Je te volerai toujours tes larmes, le vieux en tout rit,
En mon coeur, je jure qu'ils ont pas vu le travestis
Et ma sœur sans parjure ne voulait voir que le pastis.
J'allais donc seul, seule remettre une couche au vidoir
J’râlais tout seul, encore à remettre une louche en dévidoir,
Un espace tranquille où ma beauté ne puisse se voir
Une espèce de cédille sans poireauter de ton savoir,
Des pétainistes qui m'attendaient pour refaire mon miroir
Le pianiste dénote tes écrits pour défaire et revoir,
En attendant Monsieur le juge, ils parlent tous de nique !
En espérant que Madame ne juge et démange en moustique.
Je suis devenue la chèvre emblème de leur cour
Tu es revenue en fièvre, blême de la basse cour,
Les femmes, signent pour l’abattoir du faubourg
Les hommes désignent d’un battoir le faux bourg,
Petit mais costo, finir dans la gueule du loup ?
Grand comme Castro, définir les veines du cou,
Oui il dansait, alors que les autres allaient couper mon cou
Non, je pensais qu’alors Le Nôtre devait découpler ton pouls.
Un ? Une meute assoiffée de gris de gris
Deux émeute décoiffées à bas les gris-gris,
Là lunette! ou longue vu c'est permis
De ma lorgnette, en tong j’ai lu tout, pardi !
J'ai perdu le fil de la chèvre au pas
Eperdu des fils que j’achève où pas,
On chante pitètre le lion et l'angora
Je vante peut être l’action sans corrida.
On danse avec les effluves, allumettes et .....
La ganse des fleurs fleure comme l’anisette,
Trenet c'est qui ma tête est au point mort
Entraîné par la fête et se sentir plus fort,
Pour cela Monsieur dupond moretti René
Par ceci, Madame répond : Mort anti-gêné,
Prends un plan , un gps , tu seras jamais dans le fossé
Pend comme un gland, je verrai encore à renforcer.
Nous sommes en direct Luron laisse tomber
Et comme un direct du droit, je peux retomber,
Pas la peine, il a s'en doute beaucoup travaillé
Car ma veine, c’est une goutte qu’à peine j’ai bossé,
Voilà l'important c'est la rose en écorchant pas le bout
Voici, l’emportant, c’est ta prose recherchant l’autre bout,
Fiction! Fiction! Tu n’vas pas raconter ça à nous.
Friction ! Friction! J’n’ai raconté qu’ça pour vous.
LILASYS/Luron1er
