Le bonheur du jour
Quand de l’amour la saveur on ne peut oublier
Le parfum , les couleurs ni le cœur inondé ,
On va cueillir les fleurs des souvenirs passés
Refaisant à l’envers le chemin en pensée.
Ton visage ressurgit dans le ciel éclairé
Tout à coup de lueurs aux contours tourmentés.
Le regard enfiévré je bâtis des châteaux
Dans ce brouillard épais à couper au couteau.
Dans le bleu assombri , isolée dans ma tour
Ton sourire lance dans cette nuit obscure
Des reflets chatoyants sur le bonheur-du-jour. *
« Viens-tu sécher les pleurs qui me défigurent ? »
Les éclairs de tes yeux rompent l’atmosphère ,
J’enjambe le balcon , je bascule en arrière ,
Des milliers d’étincelles électrisent mon corps ,
Frappé par la foudre de nos cœurs en accord.
Mistigri
*Bonheur-du-jour : bureau à tiroirs (XVIII° siècle)
Quand de l’amour la saveur on ne peut oublier
Le parfum , les couleurs ni le cœur inondé ,
On va cueillir les fleurs des souvenirs passés
Refaisant à l’envers le chemin en pensée.
Ton visage ressurgit dans le ciel éclairé
Tout à coup de lueurs aux contours tourmentés.
Le regard enfiévré je bâtis des châteaux
Dans ce brouillard épais à couper au couteau.
Dans le bleu assombri , isolée dans ma tour
Ton sourire lance dans cette nuit obscure
Des reflets chatoyants sur le bonheur-du-jour. *
« Viens-tu sécher les pleurs qui me défigurent ? »
Les éclairs de tes yeux rompent l’atmosphère ,
J’enjambe le balcon , je bascule en arrière ,
Des milliers d’étincelles électrisent mon corps ,
Frappé par la foudre de nos cœurs en accord.
Mistigri
*Bonheur-du-jour : bureau à tiroirs (XVIII° siècle)