Le bal de nos cœurs
C'était lors d'une soirée de bal que nos croisades ont eu lieu,
Pendant de très longues heures, nous nous sommes suivis,
Sans pouvoir ne serait-ce qu'une seconde, nous quitter des yeux,
A travers une danse, nos cœurs semblaient inassouvis,
Juste là, sous nos regards flottait une source sentimentale,
Où, de multiples sentiments sont venus briller à foison,
Sur eux, des jeux de lumières nuancent et s'étalent,
Ceux-là ont rejailli sur chacune des immenses cloisons,
Alors que l'immensité de la salle s'était agréablement tamisée,
Rythmée par un panel de musiques divines et charnelles,
Nous suivions tous les deux les élans de nos corps qui ne cessaient de s'attiser,
Nous nous sommes laissés porter malgré nous, jusqu'aux péchés originels,
Entre nous une flamme pouvait alors se deviner,
Dans tous leurs corps, elles étaient là, tellement brûlantes,
Comme si elles voulaient nous montrer nos destinées,
Même si de temps à autre, elles peuvent paraître virulentes
Ce sont seulement tes pas qui ont guidé les miens et à mon insu m'ont conduite,
Vers toi, contre ton torse, je viens m'accoler contre ta peau parfumée de velours,
Oubliant même de te montrer le fait que tu m'aies attendrie et séduite,
Me gardant bien de t'ouvrir en grand mon cœur si lourd.
C'était lors d'une soirée de bal que nos croisades ont eu lieu,
Pendant de très longues heures, nous nous sommes suivis,
Sans pouvoir ne serait-ce qu'une seconde, nous quitter des yeux,
A travers une danse, nos cœurs semblaient inassouvis,
Juste là, sous nos regards flottait une source sentimentale,
Où, de multiples sentiments sont venus briller à foison,
Sur eux, des jeux de lumières nuancent et s'étalent,
Ceux-là ont rejailli sur chacune des immenses cloisons,
Alors que l'immensité de la salle s'était agréablement tamisée,
Rythmée par un panel de musiques divines et charnelles,
Nous suivions tous les deux les élans de nos corps qui ne cessaient de s'attiser,
Nous nous sommes laissés porter malgré nous, jusqu'aux péchés originels,
Entre nous une flamme pouvait alors se deviner,
Dans tous leurs corps, elles étaient là, tellement brûlantes,
Comme si elles voulaient nous montrer nos destinées,
Même si de temps à autre, elles peuvent paraître virulentes
Ce sont seulement tes pas qui ont guidé les miens et à mon insu m'ont conduite,
Vers toi, contre ton torse, je viens m'accoler contre ta peau parfumée de velours,
Oubliant même de te montrer le fait que tu m'aies attendrie et séduite,
Me gardant bien de t'ouvrir en grand mon cœur si lourd.
