24/07/11
J’étais seul. Boulevard Pasteur
Des rangées d’arbres à mes cotés :
Ca s’amusait à voler. Des fleurs
Et des feuilles flottaient tout autour
De la nature écaillée. Personne
Ne pouvait la sauver, la nature bitumée.
Et j’étais seul, le milieu de cet univers
Glacé, dans une micro-sphère où tout s’envoyait en l’air.
Tout m’attirait et je fus aimanté ;
Tout vrillait rouge rouge, petites viscosités.
Tous différents, ces solides bougent et
J’étais l’aimant aimanté,
M’amusais à les toucher.
Vole, joli tourbillon d’illusions ! Entraine
En ton épicentre ravages et rires
Et d’inévitables larmes…
Ne fais l’oubli d’aucune émotion,
Eriges-toi en gardien de la vie :
Fait naître en chaque cœur une source qui jamais se tarit.
Souffle, gronde et emporte dans ton immense dynamique !
Que chacun te vive, te sente et te ressente !
J’étais seul. Boulevard Pasteur
Des rangées d’arbres à mes cotés :
Ca s’amusait à voler. Des fleurs
Et des feuilles flottaient tout autour
De la nature écaillée. Personne
Ne pouvait la sauver, la nature bitumée.
Et j’étais seul, le milieu de cet univers
Glacé, dans une micro-sphère où tout s’envoyait en l’air.
Tout m’attirait et je fus aimanté ;
Tout vrillait rouge rouge, petites viscosités.
Tous différents, ces solides bougent et
J’étais l’aimant aimanté,
M’amusais à les toucher.
Vole, joli tourbillon d’illusions ! Entraine
En ton épicentre ravages et rires
Et d’inévitables larmes…
Ne fais l’oubli d’aucune émotion,
Eriges-toi en gardien de la vie :
Fait naître en chaque cœur une source qui jamais se tarit.
Souffle, gronde et emporte dans ton immense dynamique !
Que chacun te vive, te sente et te ressente !