Bordé par le salé d’un azur ensoleillé
Au matin frêle de mes jeunes années,
Savourant le parfum de ces flots d’abondances
Qui prenaient dans leurs bras mon enfance,
Je me noyais de joie dans une mer de douceur
Et emmêlais mes pas sur un sable d’ardeur
Qui chatouillait mes pieds et se faufiler glissant
Sur ma peau gravée par un soleil flamboyant,
Le chant des sirènes que j’entendais au loin
Happait mes sens et l’imaginaire de mes recoins,
Le dos d’un dauphin que je croyais apercevoir
Rayonnait dans mes yeux baignés d’espoir.
Les poissons par groupe visitaient le rivage
D’une eau plus pure qu’une source sauvage,
Quelques algues rarement venaient garnir un fond
Totalement absent de rocher et si peu profond,
Mes rires aussi sur les vagues voguaient à leurs tours
Quand les châteaux construits perdaient leur tour
Sous la beauté du poids d’un coquillage
Pris au bord paisible de cette plage.
Parfois les nuages en frôlant le ciel inquiétaient
Mes jeux et mon envie inlassable de bronzer.
Ah que sont bons ses souvenirs dans ma mémoire
Réveillée par le glacé de ses pages d’histoire.
Photo prise par mon pote Yassine.
Au matin frêle de mes jeunes années,
Savourant le parfum de ces flots d’abondances
Qui prenaient dans leurs bras mon enfance,
Je me noyais de joie dans une mer de douceur
Et emmêlais mes pas sur un sable d’ardeur
Qui chatouillait mes pieds et se faufiler glissant
Sur ma peau gravée par un soleil flamboyant,
Le chant des sirènes que j’entendais au loin
Happait mes sens et l’imaginaire de mes recoins,
Le dos d’un dauphin que je croyais apercevoir
Rayonnait dans mes yeux baignés d’espoir.
Les poissons par groupe visitaient le rivage
D’une eau plus pure qu’une source sauvage,
Quelques algues rarement venaient garnir un fond
Totalement absent de rocher et si peu profond,
Mes rires aussi sur les vagues voguaient à leurs tours
Quand les châteaux construits perdaient leur tour
Sous la beauté du poids d’un coquillage
Pris au bord paisible de cette plage.
Parfois les nuages en frôlant le ciel inquiétaient
Mes jeux et mon envie inlassable de bronzer.
Ah que sont bons ses souvenirs dans ma mémoire
Réveillée par le glacé de ses pages d’histoire.
Photo prise par mon pote Yassine.
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