Face à la mer immense assoupie à ses pieds
Le jeune adolescent se sent pousser des ailes
Tantôt sur un navire à tancer les gabiers
Tantôt abordant l’île explorée avec zèle
Son esprit enfiévré qui a lu tant d’histoires
N’a plus qu’à évoquer parmi les plus notoires
Pirates et corsaires qui écumaient les mers
Robinson isolé à l’esprit très amer
D’autres fois il allait foulant l’herbe humide
Se croyant dans la steppe, limite du désert
Confins d’une oasis où retrouver du vert
Aux temps d’explorations dans le Pays Numide
Il avançait toujours en Pays inconnus
Avec leurs mystères dont certains incongrus
Mais ses enchantements faisaient vibrer sa lyre
Et en enfant rêveur il taisait ses délires
Un jour a débarqué l’armada des Alliés
Face à tous ces bateaux qui parsemaient la rade
Avions les survolant tout comme à la parade
Son besoin d’aventure au réel a viré
Il voulait s’engager l’âge l’en empêchait
Ecole militaire pour mieux s’y préparer
Face à l’embrasement d’une guerre cruelle
Ses rêves plus concrets, sa vision plus réelle !
La guerre terminée il avait son emploi
L’accomplissait au mieux ayant gardé la foi
Comme il lisait beaucoup son besoin d’aventures
Bien vite retrouvé au fil de ses lectures…
Mais sachant que la sienne celle de tous les jours
Avait aussi son prix, réservant des surprises
Du bon et du mauvais avec bien des méprises
Ponctué tour à tour d’amitié et d’amour !
Jan
[ Ma page est honorée par ce poème ainsi primé ]
Le jeune adolescent se sent pousser des ailes
Tantôt sur un navire à tancer les gabiers
Tantôt abordant l’île explorée avec zèle
Son esprit enfiévré qui a lu tant d’histoires
N’a plus qu’à évoquer parmi les plus notoires
Pirates et corsaires qui écumaient les mers
Robinson isolé à l’esprit très amer
D’autres fois il allait foulant l’herbe humide
Se croyant dans la steppe, limite du désert
Confins d’une oasis où retrouver du vert
Aux temps d’explorations dans le Pays Numide
Il avançait toujours en Pays inconnus
Avec leurs mystères dont certains incongrus
Mais ses enchantements faisaient vibrer sa lyre
Et en enfant rêveur il taisait ses délires
Un jour a débarqué l’armada des Alliés
Face à tous ces bateaux qui parsemaient la rade
Avions les survolant tout comme à la parade
Son besoin d’aventure au réel a viré
Il voulait s’engager l’âge l’en empêchait
Ecole militaire pour mieux s’y préparer
Face à l’embrasement d’une guerre cruelle
Ses rêves plus concrets, sa vision plus réelle !
La guerre terminée il avait son emploi
L’accomplissait au mieux ayant gardé la foi
Comme il lisait beaucoup son besoin d’aventures
Bien vite retrouvé au fil de ses lectures…
Mais sachant que la sienne celle de tous les jours
Avait aussi son prix, réservant des surprises
Du bon et du mauvais avec bien des méprises
Ponctué tour à tour d’amitié et d’amour !
Jan
[ Ma page est honorée par ce poème ainsi primé ]