Mars 2007
Ecoutez dans la nuit, s'élever monotones,
Les souffles lugubres, de ces vents de l'automne.
Pourpres sont les feuilles qui tapissent les sentiers,
Rouges sont les râles qui les soulèvent, meurtriers.
La nuit surplombe le jour,
Vidant les coeurs de leur reste d'amour,
Quelle funeste saison,
Qui emporte avec elle la chaleur des maisons.
La pluie coule à n'en plus finir,
Pour, sur le sol glacé,
S'abattre, puis mourir,
Et faire naître des sourires désolés.
La nature semble saigner,
Pleure dans les vallées agitées.
Les feuilles frissonent sans fin,
Et dans un cri tombent enfin,
De leurs arbres meurtris,
Par le froid agressif de la nuit.
L'automne est une époque cruelle,
Mais par ces couleurs, la plus belle.
Ecoutez dans la nuit, s'élever monotones,
Les souffles lugubres, de ces vents de l'automne.
Pourpres sont les feuilles qui tapissent les sentiers,
Rouges sont les râles qui les soulèvent, meurtriers.
La nuit surplombe le jour,
Vidant les coeurs de leur reste d'amour,
Quelle funeste saison,
Qui emporte avec elle la chaleur des maisons.
La pluie coule à n'en plus finir,
Pour, sur le sol glacé,
S'abattre, puis mourir,
Et faire naître des sourires désolés.
La nature semble saigner,
Pleure dans les vallées agitées.
Les feuilles frissonent sans fin,
Et dans un cri tombent enfin,
De leurs arbres meurtris,
Par le froid agressif de la nuit.
L'automne est une époque cruelle,
Mais par ces couleurs, la plus belle.