C’est l’automne entre nos pensées
Nos regards sont éloignés.
Comme une feuille arrachée,
Le vent a emporté l’autre moitié
Cette odeur d’air humide
Pénètre au plus profond de mon être
Mon cœur plein de tout est rempli de vide
Et le froid cruel me pénètre
Les jours me paraissent si longs
D’attendre jusqu’au mois d’août
Pour une hypothétique conversation
Et j’ai peur de votre courroux.
Je n’ai crainte d’affronter l’hiver
Car ma tristesse sera éphémère
Mais le futur aura un goût d’hier
Et mon cœur vous sera toujours ouvert
Nos regards sont éloignés.
Comme une feuille arrachée,
Le vent a emporté l’autre moitié
Cette odeur d’air humide
Pénètre au plus profond de mon être
Mon cœur plein de tout est rempli de vide
Et le froid cruel me pénètre
Les jours me paraissent si longs
D’attendre jusqu’au mois d’août
Pour une hypothétique conversation
Et j’ai peur de votre courroux.
Je n’ai crainte d’affronter l’hiver
Car ma tristesse sera éphémère
Mais le futur aura un goût d’hier
Et mon cœur vous sera toujours ouvert