Les yeux rivés a la porte , elle m'ouvrait
le regard pétillant sur moi , d'année en année .
près d'eux , devant une fenêtre .entrebaillée
Les sons du silence dans la maisonnée
et le regard posé sur les cahiers colorés
avec le diabolo menthe , a coté
Le bonheur de les voir fiers de celle que je suis
mais tout s'est dégringolé ,tout
La vie a été faite autrement , ,en dent de scie
Il m'arrivait de leur donner la gamme , le chant
le week -end , quand ils se reposaient tous les deux ,
mais l'important , c' était le prix de la réussite ,dirigeant
le format paysage , avec le titre gagnant
pour la paye de plus de quarante ans ,
cela m'a passé sous le nez , c' est navrant
Revenant tard le soir, après journée de travail
on l'entendait parlé un peu , de ses heures d'hivers
quand il reparlait de ces vieilles locomotive le corail
Les couloirs des rues qui cheminaient sur nos pas ,
les lueurs de lumière , le soir, dans la maison
Elle , qui me regardais , quand je lorgnais là bas .
Je pleurais de l'intérieur , d'un oeil attendri
même Mon pavillon débordait d'une goutte ,
le nez qui suintait sur une perle d'eau ,qui suit
Le mal qui ronge , quand je repense aux étés,
les bleus au coeur , quand les pas me reviennent d'elle
les sons de son silence qui m'apaisent , enlacée
avec le temps passe , tout se passe ,
la vie , je l'ai gagnée quand même ,
pour la survie, sa passe
Kiss de Sam
le regard pétillant sur moi , d'année en année .
près d'eux , devant une fenêtre .entrebaillée
Les sons du silence dans la maisonnée
et le regard posé sur les cahiers colorés
avec le diabolo menthe , a coté
Le bonheur de les voir fiers de celle que je suis
mais tout s'est dégringolé ,tout
La vie a été faite autrement , ,en dent de scie
Il m'arrivait de leur donner la gamme , le chant
le week -end , quand ils se reposaient tous les deux ,
mais l'important , c' était le prix de la réussite ,dirigeant
le format paysage , avec le titre gagnant
pour la paye de plus de quarante ans ,
cela m'a passé sous le nez , c' est navrant
Revenant tard le soir, après journée de travail
on l'entendait parlé un peu , de ses heures d'hivers
quand il reparlait de ces vieilles locomotive le corail
Les couloirs des rues qui cheminaient sur nos pas ,
les lueurs de lumière , le soir, dans la maison
Elle , qui me regardais , quand je lorgnais là bas .
Je pleurais de l'intérieur , d'un oeil attendri
même Mon pavillon débordait d'une goutte ,
le nez qui suintait sur une perle d'eau ,qui suit
Le mal qui ronge , quand je repense aux étés,
les bleus au coeur , quand les pas me reviennent d'elle
les sons de son silence qui m'apaisent , enlacée
avec le temps passe , tout se passe ,
la vie , je l'ai gagnée quand même ,
pour la survie, sa passe
Kiss de Sam
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