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L'arbre

céruléen

Maître Poète
#1
L'ARBRE


Quelque part, entre ciel et terre se trouve un arbre
Au tronc massif, s'offrant aux cieux, c'est un Orme.
Énorme par sa touffe, majestueux, semblable à du marbre.
Solitaire, au beau milieu d'un champ, il est diversiforme.

Combien de serments d'amour et de promesses se sont forgés ici
Sous cet abri suprême, feuillu, à l'écoute de ces tourtereaux.
Pourtant cet arbre a beaucoup souffert en silence, c'est ainsi.
Nombre de cœurs, de flèches et d'initiales ont été gravés sur sa peau.

Son arborescence dégage un parfum magique, il attire les heureux.
Depuis des décades, ils sont comme aimantés, ici règne l'émoi.
Sous son ombrage l'on entend des soupirs, des murmures délicieux.
Bicentenaire, de jeunes gens s'y rendaient aussi au temps de l'amour courtois.

Je connais cet endroit, rappelles toi, nous étions tellement passionnés.
La fougue au cœur, la folie de la jeunesse : « c'est pour la vie » disais-tu.
J'avais même ciselé un cœur plus gros que les autres, tu rayonnais.
Elle est loin la mélodie de l'innocence, mélancolique, car depuis tu t'es tue.​
 

Eléâzar

Maître Poète
#2
L'ARBRE


Quelque part, entre ciel et terre se trouve un arbre
Au tronc massif, s'offrant aux cieux, c'est un Orme.
Énorme par sa touffe, majestueux, semblable à du marbre.
Solitaire, au beau milieu d'un champ, il est diversiforme.

Combien de serments d'amour et de promesses se sont forgés ici
Sous cet abri suprême, feuillu, à l'écoute de ces tourtereaux.
Pourtant cet arbre a beaucoup souffert en silence, c'est ainsi.
Nombre de cœurs, de flèches et d'initiales ont été gravés sur sa peau.

Son arborescence dégage un parfum magique, il attire les heureux.
Depuis des décades, ils sont comme aimantés, ici règne l'émoi.
Sous son ombrage l'on entend des soupirs, des murmures délicieux.
Bicentenaire, de jeunes gens s'y rendaient aussi au temps de l'amour courtois.

Je connais cet endroit, rappelles toi, nous étions tellement passionnés.
La fougue au cœur, la folie de la jeunesse : « c'est pour la vie » disais-tu.
J'avais même ciselé un cœur plus gros que les autres, tu rayonnais.
Elle est loin la mélodie de l'innocence, mélancolique, car depuis tu t'es tue.​
Cet arbre magnifiquement décrit par le poète est un grand monsieur qui a tout entendu et tout supporté : flèches lancées et initiales gravées ; Excellent travail
 

lebroc

Maître Poète
#4
L'ARBRE


Quelque part, entre ciel et terre se trouve un arbre
Au tronc massif, s'offrant aux cieux, c'est un Orme.
Énorme par sa touffe, majestueux, semblable à du marbre.
Solitaire, au beau milieu d'un champ, il est diversiforme.

Combien de serments d'amour et de promesses se sont forgés ici
Sous cet abri suprême, feuillu, à l'écoute de ces tourtereaux.
Pourtant cet arbre a beaucoup souffert en silence, c'est ainsi.
Nombre de cœurs, de flèches et d'initiales ont été gravés sur sa peau.

Son arborescence dégage un parfum magique, il attire les heureux.
Depuis des décades, ils sont comme aimantés, ici règne l'émoi.
Sous son ombrage l'on entend des soupirs, des murmures délicieux.
Bicentenaire, de jeunes gens s'y rendaient aussi au temps de l'amour courtois.

Je connais cet endroit, rappelles toi, nous étions tellement passionnés.
La fougue au cœur, la folie de la jeunesse : « c'est pour la vie » disais-tu.
J'avais même ciselé un cœur plus gros que les autres, tu rayonnais.
Elle est loin la mélodie de l'innocence, mélancolique, car depuis tu t'es tue.​
Un arbre majestueux qui a donné asile a bien des amoureux et qui en a garde les traces
J'ai vraiment beaucoup ton écriture
Amitiés
 
#6
L'ARBRE


Quelque part, entre ciel et terre se trouve un arbre
Au tronc massif, s'offrant aux cieux, c'est un Orme.
Énorme par sa touffe, majestueux, semblable à du marbre.
Solitaire, au beau milieu d'un champ, il est diversiforme.

Combien de serments d'amour et de promesses se sont forgés ici
Sous cet abri suprême, feuillu, à l'écoute de ces tourtereaux.
Pourtant cet arbre a beaucoup souffert en silence, c'est ainsi.
Nombre de cœurs, de flèches et d'initiales ont été gravés sur sa peau.

Son arborescence dégage un parfum magique, il attire les heureux.
Depuis des décades, ils sont comme aimantés, ici règne l'émoi.
Sous son ombrage l'on entend des soupirs, des murmures délicieux.
Bicentenaire, de jeunes gens s'y rendaient aussi au temps de l'amour courtois.

Je connais cet endroit, rappelles toi, nous étions tellement passionnés.
La fougue au cœur, la folie de la jeunesse : « c'est pour la vie » disais-tu.
J'avais même ciselé un cœur plus gros que les autres, tu rayonnais.
Elle est loin la mélodie de l'innocence, mélancolique, car depuis tu t'es tue.​
Compliments!.... un beau poème branché feuillu d'images, amours perdus...Bravo Céruléen pour ce mélodieux partage...JC