Une forêt osseuse
abrite
ce grand arbre éternel
où les feuilles s'éveillent.
abrite
ce grand arbre éternel
où les feuilles s'éveillent.
Ensuite, viens leurs bruissement d'ailes rouillés qui soufles leurs derniers soupirs.
Les paroles du sage sont enfuits dans les rides de l'âge, et par celles-cis s'écoulent les rizières de passage.
Il arrive le photographe qui mitraille l'antiquité, et le bafoué s'égare dans le papier glacé.
Je me perd dans ce planisphére où il y à; lunes à réverbères et villes à statosphères fumigénes.
Un croisement de lumières à la vittesse T.G.V transpote les rescapés.
Les insectes y fulminent, l'encre dérive et dans la mer s'éparpille.
Hatons nous vers l'époque avancé pour décortiquer les timbres désués.
Pauvres bobo confinés dans le zéro du big-bang qui suinte le caoutchouc brulé.
Je me noierais dans l'absynthe avec mes semblables