L’arbre de la forêt
O homme ne détruit pas si vite !
Je suis le poumon de ta planète,
Je protège du vent ta maisonnette,
Je suis la charpente de ta maison,
Le parquet, les meubles de ton salon,
Les lambris de tes parois,
Respecte-te-moi.
Je suis ton siège de tous les jours,
Ton lit ou tu fais l’amour,
Je suis ta table, ta cuisine,
Dans ton appartement j’ai plutôt bonne mine !
Ne me juge pas quand je suis encore dans les bois,
Car un jour je serais chez toi.
Un jour on me coupera,
Toutes mes petites branches on les coupera
Puis on me sciera en morceau,
Et on me jugera pour savoir si je suis beau,
Si c’est le cas je serai dans ton salon,
Sinon je serais la charpente de ta maison.
Le plus triste pour moi c’est d’être impropre à être travailler,
Car je finirai en pâte à papier,
Un fois en papier, je serais peut être un journal,
Pensez a moi à la gare, quand vous me le lisez dans la halle,
Quand je t’aurai servi plus ou moins longtemps,
Que je sois meuble, charpente ou parquet je finirais en brûlant….
Menuisier, charpentier n’oublie pas que je suis vivant,
Je travail tous le temps,
Mes dimensions varies avec l’humidité,
Même quand je suis dans ta maisonnée !!
On dit que je suis noble,
Tous dépend d’ou je vient, de quelle partie du globe,
Vincent, apprenti menuisier ^^
O homme ne détruit pas si vite !
Je suis le poumon de ta planète,
Je protège du vent ta maisonnette,
Je suis la charpente de ta maison,
Le parquet, les meubles de ton salon,
Les lambris de tes parois,
Respecte-te-moi.
Je suis ton siège de tous les jours,
Ton lit ou tu fais l’amour,
Je suis ta table, ta cuisine,
Dans ton appartement j’ai plutôt bonne mine !
Ne me juge pas quand je suis encore dans les bois,
Car un jour je serais chez toi.
Un jour on me coupera,
Toutes mes petites branches on les coupera
Puis on me sciera en morceau,
Et on me jugera pour savoir si je suis beau,
Si c’est le cas je serai dans ton salon,
Sinon je serais la charpente de ta maison.
Le plus triste pour moi c’est d’être impropre à être travailler,
Car je finirai en pâte à papier,
Un fois en papier, je serais peut être un journal,
Pensez a moi à la gare, quand vous me le lisez dans la halle,
Quand je t’aurai servi plus ou moins longtemps,
Que je sois meuble, charpente ou parquet je finirais en brûlant….
Menuisier, charpentier n’oublie pas que je suis vivant,
Je travail tous le temps,
Mes dimensions varies avec l’humidité,
Même quand je suis dans ta maisonnée !!
On dit que je suis noble,
Tous dépend d’ou je vient, de quelle partie du globe,
Vincent, apprenti menuisier ^^
