Bah ! Je ne me fais à vos idées,
Car mon ivresse n’est pas finie,
Et la vitesse qui m’a scotchée,
Est d’une bouteille bien finie.
Puisse la soie, démanger,
Votre peau de pêcheuse,
Et par ceci, déranger,
Votre somme!Rêveuse.
Un jour, t'en revient- il ? Nous buvions en silence,
On ne parlait alors, que de joie et pour nous deux,
Que de la fuite des moeurs frappant les latences
De notre abus commun, pourtant si harmonieux.
Allez suspends ici, maintenant, ce peu de temps
Arrêtons nous un moment, pour goûter de ce vin,
Comme avant, sans excès, cette fois, c’est un pan,
De notre vie passée, aujourd’hui, qui nous revient.
C'était, notre habitude,
Sur le sable, réunis enfin,
Le ciel nous couvant et sans fin,
D’un futur sans lassitude.
Car mon ivresse n’est pas finie,
Et la vitesse qui m’a scotchée,
Est d’une bouteille bien finie.
Puisse la soie, démanger,
Votre peau de pêcheuse,
Et par ceci, déranger,
Votre somme!Rêveuse.
Un jour, t'en revient- il ? Nous buvions en silence,
On ne parlait alors, que de joie et pour nous deux,
Que de la fuite des moeurs frappant les latences
De notre abus commun, pourtant si harmonieux.
Allez suspends ici, maintenant, ce peu de temps
Arrêtons nous un moment, pour goûter de ce vin,
Comme avant, sans excès, cette fois, c’est un pan,
De notre vie passée, aujourd’hui, qui nous revient.
C'était, notre habitude,
Sur le sable, réunis enfin,
Le ciel nous couvant et sans fin,
D’un futur sans lassitude.