L’annale
De l’inconscience passée à réfléchir,
Se faire mal pour pas blesser les autres,
Laissant la science, aux riches qui s’enrichissent,
Encore la dalle pour pleurer ses désirs,
Toujours du souffre, déjà que l’on s’essouffle,
De la fumée dans laquelle ils se vautrent,
Les mêmes qui souffrent, la dernière friche,
Et de plus belle sentons nous agonir,
Se faire pourquoi ? Sauf pour dépasser,
L’étrangeté, de ce chacun pour soi,
Pas de mal à penser que c’est si gai,
Par un rire, un pleure ou un émoi,
Et dans ce froid devant l’immensité,
Certaines personnes sont glaciales en été,
Reste le moi, face à l’adversité,
Quand raisonne les annales en soirée.
De l’inconscience passée à réfléchir,
Se faire mal pour pas blesser les autres,
Laissant la science, aux riches qui s’enrichissent,
Encore la dalle pour pleurer ses désirs,
Toujours du souffre, déjà que l’on s’essouffle,
De la fumée dans laquelle ils se vautrent,
Les mêmes qui souffrent, la dernière friche,
Et de plus belle sentons nous agonir,
Se faire pourquoi ? Sauf pour dépasser,
L’étrangeté, de ce chacun pour soi,
Pas de mal à penser que c’est si gai,
Par un rire, un pleure ou un émoi,
Et dans ce froid devant l’immensité,
Certaines personnes sont glaciales en été,
Reste le moi, face à l’adversité,
Quand raisonne les annales en soirée.