L’année au cirque LILASYS médaille de bronze 8.66
Comme toute unité, l’an naît sur MAGICUS
Qui nous fait miroiter un bel instant suprême
Quel bonheur ce JONGLOR, aussi plat qu’un pocus
Qui ne saute que crêpe en son temps de carême
Tel ce blanc qui déride en ce mois de CLOWNUS
Dont le tort porte en soi, comme un petit roi blême
En plein EQUILIBROR, le pair de l’Angélus
Condamné par la loi du père de la foi même
Maître de tant d’autres, DRESSOR hausse une fleur
Qu’elle étende son art à toute la nature
À lui porter secours, DOMPTANT met son ardeur
Ainsi chantent les champs : Que vive l’aventure !
Quand l’école est finie, ÉCUYER peine au chaud
D’un soleil qui se plaît à réchauffer la plage
Où des vacanciers viennent brûler leur peau
Priant pour qu’ACROBANT ne leur refile un gage
VOLTIGIUS fléchit l’atmosphère et le temps
Donnant voie à PORTUS pour de belles vendanges
Et le poids sera bon, si le cep est clément,
Pour avoir ce vin dont on fait des louanges
Le mois devient précaire, on est en TRAPEZUS
La feuille vole au vent, et l’arbre se dénude
Attend de SERPENTAIRE un jet d’olibrius
Qu’’un repli sur soi-même en toute zénitude
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lilasys
Comme toute unité, l’an naît sur MAGICUS
Qui nous fait miroiter un bel instant suprême
Quel bonheur ce JONGLOR, aussi plat qu’un pocus
Qui ne saute que crêpe en son temps de carême
Tel ce blanc qui déride en ce mois de CLOWNUS
Dont le tort porte en soi, comme un petit roi blême
En plein EQUILIBROR, le pair de l’Angélus
Condamné par la loi du père de la foi même
Maître de tant d’autres, DRESSOR hausse une fleur
Qu’elle étende son art à toute la nature
À lui porter secours, DOMPTANT met son ardeur
Ainsi chantent les champs : Que vive l’aventure !
Quand l’école est finie, ÉCUYER peine au chaud
D’un soleil qui se plaît à réchauffer la plage
Où des vacanciers viennent brûler leur peau
Priant pour qu’ACROBANT ne leur refile un gage
VOLTIGIUS fléchit l’atmosphère et le temps
Donnant voie à PORTUS pour de belles vendanges
Et le poids sera bon, si le cep est clément,
Pour avoir ce vin dont on fait des louanges
Le mois devient précaire, on est en TRAPEZUS
La feuille vole au vent, et l’arbre se dénude
Attend de SERPENTAIRE un jet d’olibrius
Qu’’un repli sur soi-même en toute zénitude
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lilasys