L’hiver, doucement frappe à sa porte
Le jour il fait nuit
Dans son cœur qu’importe
Elle erre avec les ombres de ses souvenirs
Des rêves inachevés
La tête pleine d’idées
Qu’elle traîne
Comme on traîne les pieds
Le bruit du silence
Et cette interminable absence
L’absence de tout intérêt
S’accrochant pour ne pas sombrer
À son monde à elle
Celui que les autres ne voient pas
Comme un aveugle avec sa canne
Qui essaye de trouver son chemin
Il fait jour et pourtant
Chez elle, désormais il fait nuit
texte protégé 13/10/17 YR
Le jour il fait nuit
Dans son cœur qu’importe
Elle erre avec les ombres de ses souvenirs
Des rêves inachevés
La tête pleine d’idées
Qu’elle traîne
Comme on traîne les pieds
Le bruit du silence
Et cette interminable absence
L’absence de tout intérêt
S’accrochant pour ne pas sombrer
À son monde à elle
Celui que les autres ne voient pas
Comme un aveugle avec sa canne
Qui essaye de trouver son chemin
Il fait jour et pourtant
Chez elle, désormais il fait nuit
texte protégé 13/10/17 YR