La vouloir souriante
Il y a l’ombre et la lumière,
Je ne comprends pas ces larmes,
Belle vous êtes, une guerrière,
Une femme, la plus belle arme,
Vos paroles sont si dorées,
Que je ne peux voir la tristesse,
Je resterais ici prostré,
Pour voir naître cette poétesse,
Mais devant cette simplicité,
Je ne peux que m’incliner,
De cet amour journalier,
Que vous savez instaurer,
Je vois une ombre apparaître,
Je ne comprends pas ces larmes,
Une femme, la plus belle arme,
Et votre sourire disparaitre.
Il y a l’ombre et la lumière,
Je ne comprends pas ces larmes,
Belle vous êtes, une guerrière,
Une femme, la plus belle arme,
Vos paroles sont si dorées,
Que je ne peux voir la tristesse,
Je resterais ici prostré,
Pour voir naître cette poétesse,
Mais devant cette simplicité,
Je ne peux que m’incliner,
De cet amour journalier,
Que vous savez instaurer,
Je vois une ombre apparaître,
Je ne comprends pas ces larmes,
Une femme, la plus belle arme,
Et votre sourire disparaitre.