La Vie
Prose
Prose
Voici un texte, que j’ai également retrouvé, égaré dans l'ordinateur
Le début est très très ancien, 1971
Et je l’avais achevé en juin 2015
Depuis des décennies Je ne me suis lassée de répéter
Au cours de déjeuners ou discussions amicales :
« On se casse la figure en suivant ce mouvement
Qui nous enferme sans juste mesure
Dans un collier
Qui délace nos chaussures
Pour mieux couper l’herbe sur nos racines !
Nous vivons dangereusement dans un cercle vicieux tendu
Qui risque un jour ou l’autre, après s’être fêlé de se briser » !
« Vivant à « notre » convenue ou à notre corps défendant,
Ce qui était pensé sauf l’Imprévu !
Qui nous enferme sans juste mesure
Dans un collier
Qui délace nos chaussures
Pour mieux couper l’herbe sur nos racines !
Nous vivons dangereusement dans un cercle vicieux tendu
Qui risque un jour ou l’autre, après s’être fêlé de se briser » !
« Vivant à « notre » convenue ou à notre corps défendant,
Ce qui était pensé sauf l’Imprévu !
L’homme se croit plus fort que la nature
Omettant l’essentiel d’un temps si bien distribué » !
Aujourd'hui, temps révolu!
Omettant l’essentiel d’un temps si bien distribué » !
Aujourd'hui, temps révolu!
LA VIE Année 2015
Un jour viendra fermer à tous les yeux
Sur une image humaine à devenir banale !
Même sur grand écran ne verront que l’envers
D’un décor inhumain à l’envolée finale !
Sommes gâtés, pourris sans visionner la vie !
Il faut mordre dedans pour satisfaire le temps
Tel un slogan pâlit à devenir emblème !
Alors qu’à pleines dents un quartier assouvit
Même pour un palais, meilleur serait pour l’Affamé !
L’image devant moi, ressuscite le passé, je deviens blême :
Où sont les joies sans rien ?
Où sont bonheurs sans rien ?
Où sont les peines ?
Partout !
Mais souvent pour des riens!
Où se trouve l’Amour
Avec des trois fois rien ?
Ce dernier devrait être le premier
A panser longue traine de tous restes
Car l’ensemble, mal pensé, régresse !
Couronné de désespérance autour
De la belle espérance fuyant devant nous,
Elle qui propulsait la volonté de tout vaincre !
Ce tout que nous offrions nous-mêmes
Heureux de vivre « malheureux »
Car ce malheureux ne transpirait pas
Nous n’étions qu’Âmes dans l’Autre fondue
Sans rien d’autre pour décor que nous-mêmes !
Nous vivions tous, l’effort, le travail
La Vie était dans nos deux mains- pain quotidien
AMOUR
Sur une image humaine à devenir banale !
Même sur grand écran ne verront que l’envers
D’un décor inhumain à l’envolée finale !
Sommes gâtés, pourris sans visionner la vie !
Il faut mordre dedans pour satisfaire le temps
Tel un slogan pâlit à devenir emblème !
Alors qu’à pleines dents un quartier assouvit
Même pour un palais, meilleur serait pour l’Affamé !
L’image devant moi, ressuscite le passé, je deviens blême :
Où sont les joies sans rien ?
Où sont bonheurs sans rien ?
Où sont les peines ?
Partout !
Mais souvent pour des riens!
Où se trouve l’Amour
Avec des trois fois rien ?
Ce dernier devrait être le premier
A panser longue traine de tous restes
Car l’ensemble, mal pensé, régresse !
Couronné de désespérance autour
De la belle espérance fuyant devant nous,
Elle qui propulsait la volonté de tout vaincre !
Ce tout que nous offrions nous-mêmes
Heureux de vivre « malheureux »
Car ce malheureux ne transpirait pas
Nous n’étions qu’Âmes dans l’Autre fondue
Sans rien d’autre pour décor que nous-mêmes !
Nous vivions tous, l’effort, le travail
La Vie était dans nos deux mains- pain quotidien
AMOUR
Hélas! Aujourd’hui précis
Le Monde est en berne
Salue le Tableau haut en couleurs
Versant les larmes de Douleur
Sur ceux qui ont perdu leur vie!
Rien non jamais, ne pourra décrire
les âmes mortifiées de leurs chéris
Ni l’effondrement de combien de familles?
Tel un glas rassemble,
Un long hallali caresse les yeux à jamais fermés
Sans ne rien comprendre ! Sans explications ni reproches !
Sur le silence emmuré
Le Monde est en berne
Salue le Tableau haut en couleurs
Versant les larmes de Douleur
Sur ceux qui ont perdu leur vie!
Rien non jamais, ne pourra décrire
les âmes mortifiées de leurs chéris
Ni l’effondrement de combien de familles?
Tel un glas rassemble,
Un long hallali caresse les yeux à jamais fermés
Sans ne rien comprendre ! Sans explications ni reproches !
Sur le silence emmuré
Que l’épée de l’Arc-en-Ciel fasse son effet !
Polymnie2, ce 12 Mai 2021
Polymnie2, ce 12 Mai 2021
Explication : Dans la bible, l’arc en ciel fut le gage de réconciliation donnée par Dieu à Noé après le déluge.
Les païens en avaient fait l’écharpe d’Iris, messagère des Dieux ».
La Genèse dit ceci : « Voici le signe de l’alliance que je mets entre toi et vous pour les générations à venir.
« Je mets mon arc dans la nuée et il deviendra signe d’alliance entre moi et la terre.
Lorsque j’assemblerai les nuées sur la terre et que l’arc apparaîtra dans la nuée,
je me souviendrai de l’alliance qu’il y a entre moi et vous tous ».
« Iris, messagère des Dieux, fût changée par Héra épouse de Zeus,
« déesse des phénomènes célestes et du mariage, et, identifiée par la Junon des Latins »
Les païens en avaient fait l’écharpe d’Iris, messagère des Dieux ».
La Genèse dit ceci : « Voici le signe de l’alliance que je mets entre toi et vous pour les générations à venir.
« Je mets mon arc dans la nuée et il deviendra signe d’alliance entre moi et la terre.
Lorsque j’assemblerai les nuées sur la terre et que l’arc apparaîtra dans la nuée,
je me souviendrai de l’alliance qu’il y a entre moi et vous tous ».
« Iris, messagère des Dieux, fût changée par Héra épouse de Zeus,
« déesse des phénomènes célestes et du mariage, et, identifiée par la Junon des Latins »