La vie est un pont basculant
La mort est un moment renversant
Qui déstabilise cette assise
En impliquant une disparition
De l’être humain,
En détruisant brusquement
Son chemin
Sa vie est comptabilisée dés son premier jour
Jusqu’à sa fin
Dans une période de vie négligeable
Par rapport à cet univers imaginable
Où il a vécu de sa vie qu’un jour
De bonheur agréable
Le reste de sa vie reste comme un four
D’un enfer inoubliable
La vie de l’homme est éphémère
On est qu’une étincelle sur terre
Imaginons qu’il n’y a plus d’air
Tout le monde s’en va et s’enterre
Dans un autre monde qu’on ignore !
Peut être un monde des seigneurs ?
La mort est un moment renversant
Qui déstabilise cette assise
En impliquant une disparition
De l’être humain,
En détruisant brusquement
Son chemin
Sa vie est comptabilisée dés son premier jour
Jusqu’à sa fin
Dans une période de vie négligeable
Par rapport à cet univers imaginable
Où il a vécu de sa vie qu’un jour
De bonheur agréable
Le reste de sa vie reste comme un four
D’un enfer inoubliable
La vie de l’homme est éphémère
On est qu’une étincelle sur terre
Imaginons qu’il n’y a plus d’air
Tout le monde s’en va et s’enterre
Dans un autre monde qu’on ignore !
Peut être un monde des seigneurs ?
Je dédie ce poème à celui qui a perdu un parent
Ou un proche
Ou un proche