Un jour on m'a appris que tu ne donnes pas ,
Que même ton amour , tu le gardes pour toi ,
Que même quand tu ris , tu t'enfuis tel un rat ,
Qu'enfermée dans ta tour , tu t'imagines roi....
Le Roi de mon coeur , un beau jour est parti ,
Me laissant ventre à terre au château sans abri.
Prisonnière à jamais du malheur sans sursis ,
Je me suis enfermée car mon coeur est maudit.
Seule toi , te plonges dans cet abysse sans fond.
Maintenant ressaisis-toi , sors de ton château ,
Donnes ton amour , ton or , obtiens mon pardon ,
Puis regardes le ciel , qui n'en est que plus beau.
Je ne veux plus souffrir , je ne veux plus aimer ,
Je me protège ainsi des blessures cruelles ,
Même si je me dis : " Tu ne peux renoncer...
Au cadeau des baisers , des étreintes charnelles.."
Oublies ta souffrance , les regrets du passé
Et n'écoutes que ton coeur qui ne veut qu'aimer.
Je me sens perdue pour la première fois ,
J'ai envie de pleurer, prends moi dans tes bras.
Mistigri
Tristan
Merci beaucoup pour se magnifique duo , j'adors la sensibiliter que tu dégage dans ce poème...
Que même ton amour , tu le gardes pour toi ,
Que même quand tu ris , tu t'enfuis tel un rat ,
Qu'enfermée dans ta tour , tu t'imagines roi....
Le Roi de mon coeur , un beau jour est parti ,
Me laissant ventre à terre au château sans abri.
Prisonnière à jamais du malheur sans sursis ,
Je me suis enfermée car mon coeur est maudit.
Seule toi , te plonges dans cet abysse sans fond.
Maintenant ressaisis-toi , sors de ton château ,
Donnes ton amour , ton or , obtiens mon pardon ,
Puis regardes le ciel , qui n'en est que plus beau.
Je ne veux plus souffrir , je ne veux plus aimer ,
Je me protège ainsi des blessures cruelles ,
Même si je me dis : " Tu ne peux renoncer...
Au cadeau des baisers , des étreintes charnelles.."
Oublies ta souffrance , les regrets du passé
Et n'écoutes que ton coeur qui ne veut qu'aimer.
Je me sens perdue pour la première fois ,
J'ai envie de pleurer, prends moi dans tes bras.
Mistigri
Tristan
Merci beaucoup pour se magnifique duo , j'adors la sensibiliter que tu dégage dans ce poème...