La rivière
Félicité, ivresse
je franchis les collines
savourer l'allégresse
des notes cristallines.
Rien ne peut m'arrêter
la musique m'élève
près des cieux azurés
au Paradis je rêve!
Je n'ai plus de blessures
ni même d'ecchymoses
tout d'elle me rassure
enfin me réjouir j'ose!
Coule coule rivière,
au tempo de la belle
son archet c'est l'éclair
aux éclats d'étincelles.
Ô superbe sirène
émergeant de tes gammes
dans tes filets tu traines
le bonheur de mon âme.
Mon coeur est un solfège
vibrant à l'unisson
de tes tendres arpèges,
de ton doux diapason.
A ton violon, lovée,
des cordes tu caresses
en cette mélopée
les dieux et les déesses.
Laisse-moi devenir
ces cordes sous tes doigts
l'écho de ce plaisir
lorsque tu joues pour moi.
Félicité, tendresse,
je franchis les collines
m'enivrer d'allégresse
de cette fée divine.
Vik
Félicité, ivresse
je franchis les collines
savourer l'allégresse
des notes cristallines.
Rien ne peut m'arrêter
la musique m'élève
près des cieux azurés
au Paradis je rêve!
Je n'ai plus de blessures
ni même d'ecchymoses
tout d'elle me rassure
enfin me réjouir j'ose!
Coule coule rivière,
au tempo de la belle
son archet c'est l'éclair
aux éclats d'étincelles.
Ô superbe sirène
émergeant de tes gammes
dans tes filets tu traines
le bonheur de mon âme.
Mon coeur est un solfège
vibrant à l'unisson
de tes tendres arpèges,
de ton doux diapason.
A ton violon, lovée,
des cordes tu caresses
en cette mélopée
les dieux et les déesses.
Laisse-moi devenir
ces cordes sous tes doigts
l'écho de ce plaisir
lorsque tu joues pour moi.
Félicité, tendresse,
je franchis les collines
m'enivrer d'allégresse
de cette fée divine.
Vik