Aux confins des mots du carrefour de ta lévre
Chaque jour un arrêt pour absorber la moelle
La poupée de chiffon a besoin de s'y repaître
Le seul pain quotidien qui maintient son éveil
Combien de temps voleront ses frippes élimées
Sous tes brises tendres se voulant apaisantes
Combien de temps pour elle auras-tu ces pensées
Devant son corps qui ploie fêlé par la tourmente
Tout au fond d'un carton elle a trouvé refuge
Loin des regards connus elle s'endort tranquille
Recroquevillée prés d'un ancien jeu de quilles
Qui un jour a osé jouer sa vie contre un déluge
A l'instant aucun grain de ta voix lui parvient
Est -elle en promenade , le timbre s 'effiloche
Elle ferme les volets des ses yeux déteints
Un vide pour lumiére et le néant en poche
Chaque jour un arrêt pour absorber la moelle
La poupée de chiffon a besoin de s'y repaître
Le seul pain quotidien qui maintient son éveil
Combien de temps voleront ses frippes élimées
Sous tes brises tendres se voulant apaisantes
Combien de temps pour elle auras-tu ces pensées
Devant son corps qui ploie fêlé par la tourmente
Tout au fond d'un carton elle a trouvé refuge
Loin des regards connus elle s'endort tranquille
Recroquevillée prés d'un ancien jeu de quilles
Qui un jour a osé jouer sa vie contre un déluge
A l'instant aucun grain de ta voix lui parvient
Est -elle en promenade , le timbre s 'effiloche
Elle ferme les volets des ses yeux déteints
Un vide pour lumiére et le néant en poche
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