Hors concours
Je n’ai su refermer la porte du passé
Ne voulant dire adieu aux mémoires posthumes,
Elle demeure entre ouverte aux fastes trépassés
Ouvrant mes souvenirs sans un goût d’amertume,
Ce corridor étroit aux quatre vents laissé
M’offre le passage vers un autre rivage,
S’il faut même à genoux se trainer, se baisser,
En la brèche du temps je détourne les pages,
Visages tant aimés, sans ma finalité
En toute impunité, je puis en clairvoyance
M’abriter aux pontons de l’irréalité :
De la vie à la mort…arcade d’alternance…
Dernière édition: