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La pluie et sa prose

céruléen

céruléen

Maître Poète
#1
#1

  1. LA PLUIE ET SA PROSE.


    Quand les larmes du ciel chutent en harmonie
    Longues comme des fils sans fin et sans prélude
    Les gouttes d'eau font pleurer les arbres silencieux.
    La rivière saturée, gonfle et se répand dans la plaine.
    Le ciel est triste, le soleil est mort, les nuages jouissent.
    Un cliquetis se fait entendre, présageant une longue averse.
    Le sol miroite, l'air est vaporeux et l'ambiance morose.
    Dans cet espace endeuillé, un éclair donne un peu de vie.
    Larmes fluettes,d'un ciel en douleur, tintent sur ma fenêtre.
    Tout ceci afflige les oiseaux et fait frémir les fleurs.
    L'ennui s'installe. Aucun feu ne crépite dans mon cœur.
    La pluie fait ressortir les senteurs de la terre reconnaissante.
    Derrière ce rideau mouillé, tout disparaît, le déluge s'acharne.
    Mais les nuages noirs s'évaporent peu à peu chassés par le vent.
    J'aperçois à peine une petite éclaircie comme une lueur d'espoir.
    Le ciel va reprendre son bleu, la terre étant assez fécondée.​
 
J

JEAN-CLAUDE Dominé

Maître Poète
#2
#2
céruléen a dit:

  1. LA PLUIE ET SA PROSE.


    Quand les larmes du ciel chutent en harmonie
    Longues comme des fils sans fin et sans prélude
    Les gouttes d'eau font pleurer les arbres silencieux.
    La rivière saturée, gonfle et se répand dans la plaine.
    Le ciel est triste, le soleil est mort, les nuages jouissent.
    Un cliquetis se fait entendre, présageant une longue averse.
    Le sol miroite, l'air est vaporeux et l'ambiance morose.
    Dans cet espace endeuillé, un éclair donne un peu de vie.
    Larmes fluettes,d'un ciel en douleur, tintent sur ma fenêtre.
    Tout ceci afflige les oiseaux et fait frémir les fleurs.
    L'ennui s'installe. Aucun feu ne crépite dans mon cœur.
    La pluie fait ressortir les senteurs de la terre reconnaissante.
    Derrière ce rideau mouillé, tout disparaît, le déluge s'acharne.
    Mais les nuages noirs s'évaporent peu à peu chassés par le vent.
    J'aperçois à peine une petite éclaircie comme une lueur d'espoir.
    Le ciel va reprendre son bleu, la terre étant assez fécondée.​
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Les larmes parfois sont comme des perles de pluie qui calment notre sècheresse...Bravo Céruléen pour la fraîcheur de ton poème...Amitiés sincères JC
 
lebroc

lebroc

Maître Poète
#4
#4
céruléen a dit:

  1. LA PLUIE ET SA PROSE.


    Quand les larmes du ciel chutent en harmonie
    Longues comme des fils sans fin et sans prélude
    Les gouttes d'eau font pleurer les arbres silencieux.
    La rivière saturée, gonfle et se répand dans la plaine.
    Le ciel est triste, le soleil est mort, les nuages jouissent.
    Un cliquetis se fait entendre, présageant une longue averse.
    Le sol miroite, l'air est vaporeux et l'ambiance morose.
    Dans cet espace endeuillé, un éclair donne un peu de vie.
    Larmes fluettes,d'un ciel en douleur, tintent sur ma fenêtre.
    Tout ceci afflige les oiseaux et fait frémir les fleurs.
    L'ennui s'installe. Aucun feu ne crépite dans mon cœur.
    La pluie fait ressortir les senteurs de la terre reconnaissante.
    Derrière ce rideau mouillé, tout disparaît, le déluge s'acharne.
    Mais les nuages noirs s'évaporent peu à peu chassés par le vent.
    J'aperçois à peine une petite éclaircie comme une lueur d'espoir.
    Le ciel va reprendre son bleu, la terre étant assez fécondée.​
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Des larmes du Ciel qu ne connaissent pas très bien l'heure
Le Soleil se meurt mais va bientôt renaître
J'ai beaucoup aimé
Amitiés
 
Eléâzar

Eléâzar

Maître Poète
#8
#8
céruléen a dit:

  1. LA PLUIE ET SA PROSE.


    Quand les larmes du ciel chutent en harmonie
    Longues comme des fils sans fin et sans prélude
    Les gouttes d'eau font pleurer les arbres silencieux.
    La rivière saturée, gonfle et se répand dans la plaine.
    Le ciel est triste, le soleil est mort, les nuages jouissent.
    Un cliquetis se fait entendre, présageant une longue averse.
    Le sol miroite, l'air est vaporeux et l'ambiance morose.
    Dans cet espace endeuillé, un éclair donne un peu de vie.
    Larmes fluettes,d'un ciel en douleur, tintent sur ma fenêtre.
    Tout ceci afflige les oiseaux et fait frémir les fleurs.
    L'ennui s'installe. Aucun feu ne crépite dans mon cœur.
    La pluie fait ressortir les senteurs de la terre reconnaissante.
    Derrière ce rideau mouillé, tout disparaît, le déluge s'acharne.
    Mais les nuages noirs s'évaporent peu à peu chassés par le vent.
    J'aperçois à peine une petite éclaircie comme une lueur d'espoir.
    Le ciel va reprendre son bleu, la terre étant assez fécondée.​
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"La pluie fait ressortir les senteurs de la terre reconnaissante" que j'extraie d'un ensemble de fort belle tenue ; merci, cher ami
 
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