La petite fille . . . aux caramels !
Pendant que je cherchais ailleurs
Aux quatre coins du monde
La plus jolie, et la meilleure
Parmi les filles, les brunes ou blondes
Pendant que moi, je cavalais
A droite à gauche un peu partout
Derrière les filles, qui m’emballaient
Par leur beauté, leur seul atout
La petite fille… aux caramels
Avec laquelle, j’ai tant joué
Dans mon enfance, à la marelle
A vite poussé, faut l’avouer
Je ne peux pas y croire mes yeux
Que la gamine, la petite môme
Au regard doux et délicieux
Fais aujourd’hui, rêver les hommes
Je la trouvais comme abrégée
Détournant d’elle mon regard
Je n’ai fait que la négliger
Ne lui trouvant aucun égard
J’ai même été parfois méchant
En lui disant avec audace
Que je n’avais aucun penchant
Pour la gamine qui m’est en face
Or la p’tite fille… aux caramels
Avec laquelle, j’ai tant joué
Dans mon enfance, à la marelle
A vite poussé, faut l’avouer
Je ne peux pas y croire mes yeux
Que la gamine, la petite môme
Au regard doux et délicieux
Fais aujourd’hui, rêver les hommes
Pendant que je passais mon temps
A courtiser les jolies filles
Que je séduis en épatant
Pour le plaisir, et le défi
Pendant que je rêvais sans cesse
A toutes ces filles belles et coquettes
Mêmes les coriaces, et les tigresses
Que je ciblais dans mes conquêtes.
La petite fille… aux caramels
Avec laquelle, j’ai tant joué
Dans mon enfance, à la marelle
A vite poussé, faut l’avouer
Je ne peux pas y croire mes yeux
Que la gamine, la petite môme
Au regard doux et délicieux
Fais aujourd’hui, rêver les hommes
Pendant toutes ces longues années
Que je n’ai pas senties passer
Que j’ai vécu à pavaner
Sans souvenirs et sans passé
Les longues périodes et les saisons
Comme un clin d’œil, juste un instant
Ont vite permis la floraison
D’un brin de femme à son printemps
Et la p’tite fille… d’hier seulement
Avec laquelle, j’ai tant joué
Moi au papa, elle à maman
A vite poussé, faut l’avouer
Je ne peux pas y croire mes yeux
Que la gamine, la petite môme
Au regard doux et délicieux
Fais aujourd’hui, rêver les hommes
Merzak OUABED
Alger, le 10 février 2004
Pendant que je cherchais ailleurs
Aux quatre coins du monde
La plus jolie, et la meilleure
Parmi les filles, les brunes ou blondes
Pendant que moi, je cavalais
A droite à gauche un peu partout
Derrière les filles, qui m’emballaient
Par leur beauté, leur seul atout
La petite fille… aux caramels
Avec laquelle, j’ai tant joué
Dans mon enfance, à la marelle
A vite poussé, faut l’avouer
Je ne peux pas y croire mes yeux
Que la gamine, la petite môme
Au regard doux et délicieux
Fais aujourd’hui, rêver les hommes
Je la trouvais comme abrégée
Détournant d’elle mon regard
Je n’ai fait que la négliger
Ne lui trouvant aucun égard
J’ai même été parfois méchant
En lui disant avec audace
Que je n’avais aucun penchant
Pour la gamine qui m’est en face
Or la p’tite fille… aux caramels
Avec laquelle, j’ai tant joué
Dans mon enfance, à la marelle
A vite poussé, faut l’avouer
Je ne peux pas y croire mes yeux
Que la gamine, la petite môme
Au regard doux et délicieux
Fais aujourd’hui, rêver les hommes
Pendant que je passais mon temps
A courtiser les jolies filles
Que je séduis en épatant
Pour le plaisir, et le défi
Pendant que je rêvais sans cesse
A toutes ces filles belles et coquettes
Mêmes les coriaces, et les tigresses
Que je ciblais dans mes conquêtes.
La petite fille… aux caramels
Avec laquelle, j’ai tant joué
Dans mon enfance, à la marelle
A vite poussé, faut l’avouer
Je ne peux pas y croire mes yeux
Que la gamine, la petite môme
Au regard doux et délicieux
Fais aujourd’hui, rêver les hommes
Pendant toutes ces longues années
Que je n’ai pas senties passer
Que j’ai vécu à pavaner
Sans souvenirs et sans passé
Les longues périodes et les saisons
Comme un clin d’œil, juste un instant
Ont vite permis la floraison
D’un brin de femme à son printemps
Et la p’tite fille… d’hier seulement
Avec laquelle, j’ai tant joué
Moi au papa, elle à maman
A vite poussé, faut l’avouer
Je ne peux pas y croire mes yeux
Que la gamine, la petite môme
Au regard doux et délicieux
Fais aujourd’hui, rêver les hommes
Merzak OUABED
Alger, le 10 février 2004