LA PERCEUSE DISPARAIT (pastiche)
Souvent paraissent de ses jolies branches les bois dénudés
Mais ces arbres lèvent les bras au ciel d’une ultime prière
Par un silence éternel, je pare la cage de fleurs oubliées
Sous une cape haute et gercée qui brise la matière
Haut trouble disparaît quand dansent les copeaux
Maladie avec des effets aiguisés déclare un désastre vulgaire
Le sang, lot témoin de blessure noire d’une perceuse en arceau
Qu'enfant,j’avais dénigré à jamais à la froideur des pierres
Ainsi parait l’objet pensé au fond de mon ennui
D’une matrice souillée, recherchée en prime d’envie
Entre caissettes d’ajoncs et un décors dans l’écrit que l’on pose
Mais qui se cabre d’une cime altière comme un bouton de rose
Je lis debout ce qui purifiera à jamais tout le beau
Demain, Bécassine est cette femme sans cuisses légères
Le vieux s’apprête à cette condition, à l’offrir en cadeau
Mais le tiroir renvoie toujours ses effets de fausse rapière.
Souvent paraissent de ses jolies branches les bois dénudés
Mais ces arbres lèvent les bras au ciel d’une ultime prière
Par un silence éternel, je pare la cage de fleurs oubliées
Sous une cape haute et gercée qui brise la matière
Haut trouble disparaît quand dansent les copeaux
Maladie avec des effets aiguisés déclare un désastre vulgaire
Le sang, lot témoin de blessure noire d’une perceuse en arceau
Qu'enfant,j’avais dénigré à jamais à la froideur des pierres
Ainsi parait l’objet pensé au fond de mon ennui
D’une matrice souillée, recherchée en prime d’envie
Entre caissettes d’ajoncs et un décors dans l’écrit que l’on pose
Mais qui se cabre d’une cime altière comme un bouton de rose
Je lis debout ce qui purifiera à jamais tout le beau
Demain, Bécassine est cette femme sans cuisses légères
Le vieux s’apprête à cette condition, à l’offrir en cadeau
Mais le tiroir renvoie toujours ses effets de fausse rapière.