Qui oserait la parjurer
Et amoindrir sa supériorité
Quand elle résonne et calfeutre
Tout ce qui n’est pas neutre
La nuit emporte tout
Son écho tel celui d’un loup
Assagit les meutes
Et crée sa propre émeute
Les éléments se matérialisent
Pour les perdus qui le réalisent
La matière grise devient brouillard
Et la pluie, du coeur, devient le nectar
C’est dans ce magnifique inconnu
Que se plongent nos corps nus
Dénués de leur regards pesants
Et du nôtre nous paralysant
Et amoindrir sa supériorité
Quand elle résonne et calfeutre
Tout ce qui n’est pas neutre
La nuit emporte tout
Son écho tel celui d’un loup
Assagit les meutes
Et crée sa propre émeute
Les éléments se matérialisent
Pour les perdus qui le réalisent
La matière grise devient brouillard
Et la pluie, du coeur, devient le nectar
C’est dans ce magnifique inconnu
Que se plongent nos corps nus
Dénués de leur regards pesants
Et du nôtre nous paralysant