La nuit,
Comme un collier d’un éclat en pénombre,
Ce voile illuminé blêmit dans l’ombre,
Par l’astre émergeant dans un oubli sombre,
La lune éclaire en sa douce lueur.
De ces rêves embrumés, pathétiques,
Volupté irréelle, âmes mythiques,
Envoutement de ces plaisirs féeriques,
L’unique essence anoblit le bonheur.
À chaque larme écrite aux mains aimantes,
Sursaut du réveil, sueurs angoissantes,
Exposant la nacre. Ô ! Femmes ardentes
Ciselant un joyau sur la couleur.
Penser qu’il est ce flot de rêveries,
Lorsqu’il se lève à l’antre où ces féeries
Qu’irréelles, seul à ses égéries,
Puisqu’éveillé du sort est au labeur…