Le temps se consume
À une vitesse vertigineuse
Et la vie nous reconçûmes
Car elle est vénéneuse
Les tristesses exhument
Car elles sont visiteuses
Aux heures posthumes
Redeviennent vigoureuses
Et moi j’assume
En mon âme frileuse
Qui facilement s’enrhume
Et devient malheureuse
Et pourtant nous dûmes
En vagues tumultueuses
Comprendre à ces écumes
Que la vie va parfois rageuse
Alors seul des enclumes
Aux envies ravageuses
Remplaçant les plumes
Reviennent assommeuses
Le noir qui s’allume
Aux allures tendancieuses
Sans fin se rallume
Dans la nuit silencieuse
Cauchemar dans la brume…
©2018 RBaron (06/09)
À une vitesse vertigineuse
Et la vie nous reconçûmes
Car elle est vénéneuse
Les tristesses exhument
Car elles sont visiteuses
Aux heures posthumes
Redeviennent vigoureuses
Et moi j’assume
En mon âme frileuse
Qui facilement s’enrhume
Et devient malheureuse
Et pourtant nous dûmes
En vagues tumultueuses
Comprendre à ces écumes
Que la vie va parfois rageuse
Alors seul des enclumes
Aux envies ravageuses
Remplaçant les plumes
Reviennent assommeuses
Le noir qui s’allume
Aux allures tendancieuses
Sans fin se rallume
Dans la nuit silencieuse
Cauchemar dans la brume…
©2018 RBaron (06/09)
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