Si ce n'est par la taille, il fut par le talent,
Jour après jour, vaille que vaille, de tout homme le plus grand,
Vois-tu briller l'étoile, au centre du firmament
Coup de pinceau sur un toile, de Van Gogh ou de Rembrand.
Quoi qu'en disent les Parques, marionnettistes d'Olympie,
Ses mains ont bandé l'arc, qui tira un trait sur sa vie.
Des faits d'armes dignes d'Homer, immortel en construction,
Dans 1000 ans on dira : "Naguère, vivait cet immense champion !"
"Balivernes, inepties ! " J'entends votre défiance,
"Ces légendaires récits, servent à bercer l'enfance ! "
Qu'importe la rumeur, si jamais elle ne meurt,
Les manuels d'histoire choisissent leur vérité.
Maléables labeurs, au bon soin des vainqueurs,
Toujours vous offrent à boire, un nectar frelaté.
Laissez vous donc bercer, par ces contes magiques,
Ils ont cette faculté, de faire naître l'espoir.
Jeune et humble ecuyer, au destin héroique,
Atteignit des sommets, d'où il ne put plus choir.
Jour après jour, vaille que vaille, de tout homme le plus grand,
Vois-tu briller l'étoile, au centre du firmament
Coup de pinceau sur un toile, de Van Gogh ou de Rembrand.
Quoi qu'en disent les Parques, marionnettistes d'Olympie,
Ses mains ont bandé l'arc, qui tira un trait sur sa vie.
Des faits d'armes dignes d'Homer, immortel en construction,
Dans 1000 ans on dira : "Naguère, vivait cet immense champion !"
"Balivernes, inepties ! " J'entends votre défiance,
"Ces légendaires récits, servent à bercer l'enfance ! "
Qu'importe la rumeur, si jamais elle ne meurt,
Les manuels d'histoire choisissent leur vérité.
Maléables labeurs, au bon soin des vainqueurs,
Toujours vous offrent à boire, un nectar frelaté.
Laissez vous donc bercer, par ces contes magiques,
Ils ont cette faculté, de faire naître l'espoir.
Jeune et humble ecuyer, au destin héroique,
Atteignit des sommets, d'où il ne put plus choir.
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