La naissance de la mort (concours)
A l’abri dans mes pensées, je croyais que rien ne pouvait m’arriver,
Je me sentais invincible, face aux tourments de cette vie bien paisible,
Illusion indescriptible, qui faisait de moi le héro d’une vie bien risible,
Où force, sagesse et volupté constituaient les murs de mon palais de papier.
Car comme dans tous les contes de fée, les vents tournent et chamboulent ce qui nous semble parfait,
Dragon de l’éternité qui un jour souffle sur mes idées et me laisse là, nu et désarmé.
L’image même de devoir affronter la réalité, me fait reculer au point de ne plus vouloir exister,
Mais quel est donc ce sentiment d’obscurité qui soudain enrobe toutes mes journées.
Retrouverais-je cette sensation démesurée de me sentir roi parmi les fleuves dorés,
Princesse au cœur d’argent, grenouille qui chante aux quatre vents,
Et moi chevalier de brindille, avec cette étoile qui dans mes yeux scintille,
Serais-je pour toujours condamné, à errer sur les images de mon histoire mal dessinée.
A l’abri dans mes pensées, je croyais que rien ne pouvait m’arriver,
Je me sentais invincible, face aux tourments de cette vie bien paisible,
Illusion indescriptible, qui faisait de moi le héro d’une vie bien risible,
Où force, sagesse et volupté constituaient les murs de mon palais de papier.
Car comme dans tous les contes de fée, les vents tournent et chamboulent ce qui nous semble parfait,
Dragon de l’éternité qui un jour souffle sur mes idées et me laisse là, nu et désarmé.
L’image même de devoir affronter la réalité, me fait reculer au point de ne plus vouloir exister,
Mais quel est donc ce sentiment d’obscurité qui soudain enrobe toutes mes journées.
Retrouverais-je cette sensation démesurée de me sentir roi parmi les fleuves dorés,
Princesse au cœur d’argent, grenouille qui chante aux quatre vents,
Et moi chevalier de brindille, avec cette étoile qui dans mes yeux scintille,
Serais-je pour toujours condamné, à errer sur les images de mon histoire mal dessinée.