La mort était pour moi un compagnon de route
souvent elle vient me voir, mais jamais ne me prend.
Mon amitié pour elle, la fait fuir sans doute ?
Elle sème la terreur et rit à nos dépends.
Viens Douce, me serrer dans tes bras infidèles
Je veux t'accompagner, suivre ta farandole
Au pays du Néant, du sommeil éternel,
Là ou l'oubli est roi : sans souffrance ni paroles.
Je t'attend et t'espère, mais dans ta cruauté
Tu frappes la jeune mère, ou l'enfant qui jouait ;
Tu ne connais ni justice, ni la moindre équité,
Tu prends selon tes cartes, et fait rouler les dés !
souvent elle vient me voir, mais jamais ne me prend.
Mon amitié pour elle, la fait fuir sans doute ?
Elle sème la terreur et rit à nos dépends.
Viens Douce, me serrer dans tes bras infidèles
Je veux t'accompagner, suivre ta farandole
Au pays du Néant, du sommeil éternel,
Là ou l'oubli est roi : sans souffrance ni paroles.
Je t'attend et t'espère, mais dans ta cruauté
Tu frappes la jeune mère, ou l'enfant qui jouait ;
Tu ne connais ni justice, ni la moindre équité,
Tu prends selon tes cartes, et fait rouler les dés !