Le jeune Shill, arrive à destination,
Plein de force et d'ambitions.
Il sait que son oeuvre sera bientôt accomplie
Et qu'on parlera de lui dans tous les récits !
Il n'a pas peur, il sait qu'il n'est pas seul.
Il sent au fond de lui la présence de ses parents,
Qui sont là pour lui dire que son coeur est grand,
Et qu'il ne doit pas finir sa vie dans un linceul.
Il approche du château posé sur la colline,
Il a peur de ce qu'il ne sent, mais son âme illumine.
Une présence, derrière lui, le fait se retourner,
Et là, il sait qu'il va se mettre à pleurer.
Non, pas de tristesse, mais de joie,
La joie de voir que ses parents sont là.
Ils l'ont suivi et les voilà réunis
Pour affronter le mal, ce mal infini.
Ils entrent dans le château, tout est silencieux.
C'en est trop, c'est même presque pernicieux.
Le petit Shill sait où il doit se rendre en trombes
Il emmène ses parents dans les catacombes.
Là, ils découvrent le mal absolu, un être immonde.
il est aveugle, il a perdu la vue, il gronde.
Le petit Shill ne le voit, il l'entend qui avance,
Ses défenses tombent, le mal est immense.
Il propose à Shill, d'établir un pacte, une union
Le jeune Shill est séduit par cette révélation.
Il accepte l'union, pose sa main sur le mal.
Le mal et lui ne font plus qu'un c'est fatal.
Mais que se passe-t-il, le mal crie ?
Il a mal, est-ce un fait établi ?
Le mal cède ; sous le joug de la douleur, il s'affale.
Shill et le mal, c'en est fini, idéal ?
Les parents de Shill pleurent leur enfant.
Des larmes coulent sur le cadavre encore fumant.
Des larmes magiques qui font revenir le garçon.
Des larmes de vie qui illuminent toute une nation...
FIN
Plein de force et d'ambitions.
Il sait que son oeuvre sera bientôt accomplie
Et qu'on parlera de lui dans tous les récits !
Il n'a pas peur, il sait qu'il n'est pas seul.
Il sent au fond de lui la présence de ses parents,
Qui sont là pour lui dire que son coeur est grand,
Et qu'il ne doit pas finir sa vie dans un linceul.
Il approche du château posé sur la colline,
Il a peur de ce qu'il ne sent, mais son âme illumine.
Une présence, derrière lui, le fait se retourner,
Et là, il sait qu'il va se mettre à pleurer.
Non, pas de tristesse, mais de joie,
La joie de voir que ses parents sont là.
Ils l'ont suivi et les voilà réunis
Pour affronter le mal, ce mal infini.
Ils entrent dans le château, tout est silencieux.
C'en est trop, c'est même presque pernicieux.
Le petit Shill sait où il doit se rendre en trombes
Il emmène ses parents dans les catacombes.
Là, ils découvrent le mal absolu, un être immonde.
il est aveugle, il a perdu la vue, il gronde.
Le petit Shill ne le voit, il l'entend qui avance,
Ses défenses tombent, le mal est immense.
Il propose à Shill, d'établir un pacte, une union
Le jeune Shill est séduit par cette révélation.
Il accepte l'union, pose sa main sur le mal.
Le mal et lui ne font plus qu'un c'est fatal.
Mais que se passe-t-il, le mal crie ?
Il a mal, est-ce un fait établi ?
Le mal cède ; sous le joug de la douleur, il s'affale.
Shill et le mal, c'en est fini, idéal ?
Les parents de Shill pleurent leur enfant.
Des larmes coulent sur le cadavre encore fumant.
Des larmes magiques qui font revenir le garçon.
Des larmes de vie qui illuminent toute une nation...
FIN