La malédiction de l’empire posidonien
Au milieu des prairies sous marines se trouvèrent
A l’abri des prédateurs, sûrement se cachèrent
Un patrimoine rare, une royauté, une communauté
Où toute œil n’a cru en leur enchanteresse beauté
L’empire fut gardé par une alliance de créatures
Etoiles épineuses, hippocampe encrés et ophiures
A l’ombre des feuilles, le plus verdâtres des toits
Au seuil des rhizomes protecteurs malgré leur étroit
L’insolite trésor méditerranéen, comme fut paraitre
Un jour insolite, son plus grand calvaire fut naitre
Son peuple puissant peu à peu se dégrada, ignorant
Soudainement ce qui se passa, le roi fut un jour désertant
On ne sachant quoi faire, les toits rudes échouèrent
La panique déclencha la guère, les émeutes ravagèrent
Le fléau, la folie inexpliquée continua à se disséminer
Seule, unique, magique, une créature a pu s’en échapper
Est- il en son pouvoir la guérison de la malédiction ?
Que tant de peine laissa le puissant roi en illusion
Ce sauveteur, être guérisseur, n’était qu’un joli nain
Comme peut l’être au-delà de la mer, un simple humain
Au milieu des prairies sous marines se trouvèrent
A l’abri des prédateurs, sûrement se cachèrent
Un patrimoine rare, une royauté, une communauté
Où toute œil n’a cru en leur enchanteresse beauté
L’empire fut gardé par une alliance de créatures
Etoiles épineuses, hippocampe encrés et ophiures
A l’ombre des feuilles, le plus verdâtres des toits
Au seuil des rhizomes protecteurs malgré leur étroit
L’insolite trésor méditerranéen, comme fut paraitre
Un jour insolite, son plus grand calvaire fut naitre
Son peuple puissant peu à peu se dégrada, ignorant
Soudainement ce qui se passa, le roi fut un jour désertant
On ne sachant quoi faire, les toits rudes échouèrent
La panique déclencha la guère, les émeutes ravagèrent
Le fléau, la folie inexpliquée continua à se disséminer
Seule, unique, magique, une créature a pu s’en échapper
Est- il en son pouvoir la guérison de la malédiction ?
Que tant de peine laissa le puissant roi en illusion
Ce sauveteur, être guérisseur, n’était qu’un joli nain
Comme peut l’être au-delà de la mer, un simple humain