La Malédiction d’Halloween
Le vent souffle si fort dans les clairières,
Des bruits de craquements résonnent,
La nuit vient s'étendre a travers le ciel,
Le temps se refroidit assez rapidement.
Le ciel se recolore d'or, de rose et d'orange,
Sous les multiples lueurs de lune et ses étoiles,
Les fumées grisâtres planent dans les airs,
Entres éclairages et vents arrive l'automne.
Quelques décorations sillonnent les parcs,
Citrouilles découpées, sorcières et araignées,
Des fantômes dansent avec les feuilles mortes,
L'orage gronde et déchire les nuages noirs.
Une ombre erre dans les rues armé d'une fossile,
Poursuit les êtres qui osent croiser son chemin,
Sur ses joues s'écoulent des larmes de sang,
De sa bouches sortent d'immenses flammes.
Mais une ancienne malédiction plane sur la ville,
Chaque Halloween, les morts reviennent à la vie,
Cherchant vengeance pour des torts oubliés,
Leurs murmures hantent les nuits sans fin.
Les enfants déguisés en monstres et en fées,
Courent de porte en porte, remplissant leurs sacs,
Leurs rires résonnent dans la nuit étoilée,
Tandis que les citrouilles éclairent leurs pas.
Les arbres nus se dressent comme des spectres,
Leurs branches tendues vers le ciel obscur,
Et dans l’ombre, une silhouette sinistre,
Observe en silence, prête à surgir.
Le vent souffle si fort dans les clairières,
Des bruits de craquements résonnent,
La nuit vient s'étendre a travers le ciel,
Le temps se refroidit assez rapidement.
Le ciel se recolore d'or, de rose et d'orange,
Sous les multiples lueurs de lune et ses étoiles,
Les fumées grisâtres planent dans les airs,
Entres éclairages et vents arrive l'automne.
Quelques décorations sillonnent les parcs,
Citrouilles découpées, sorcières et araignées,
Des fantômes dansent avec les feuilles mortes,
L'orage gronde et déchire les nuages noirs.
Une ombre erre dans les rues armé d'une fossile,
Poursuit les êtres qui osent croiser son chemin,
Sur ses joues s'écoulent des larmes de sang,
De sa bouches sortent d'immenses flammes.
Mais une ancienne malédiction plane sur la ville,
Chaque Halloween, les morts reviennent à la vie,
Cherchant vengeance pour des torts oubliés,
Leurs murmures hantent les nuits sans fin.
Les enfants déguisés en monstres et en fées,
Courent de porte en porte, remplissant leurs sacs,
Leurs rires résonnent dans la nuit étoilée,
Tandis que les citrouilles éclairent leurs pas.
Les arbres nus se dressent comme des spectres,
Leurs branches tendues vers le ciel obscur,
Et dans l’ombre, une silhouette sinistre,
Observe en silence, prête à surgir.